À votre Tour : Du Finistère à la place Bellecour

Un départ de Bretagne, une traversée du Grand Ouest puis peu de répit avec beaucoup de moyenne montagne mais beaucoup de pourcentages. Un Tour que j'ai voulu plus dur que mes précédents.

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  • créé par Tony le mardi 22 mai 2012 à 11h33 | 2987 consultations | 12 messages
    Tony - le mardi 22 mai 2012 à 11h33 permalink

    Etape 1 : samedi : Quimper-Quimper (contre la montre par équipes) (18,5 km)
    Etape 2 : dimanche : Quimper-Montagne de Locronan (197,5 km)
    Etape 3 : lundi : Concarneau-Saint Brévin les Pins (244,6 km)
    Etape 4 : mardi : Nantes-Saint Martin de Ré (172,8 km)
    Etape 5 : mercredi : Saintes-Sainte Foy la Grande (181,4 km)
    Etape 6 : jeudi : Miramont de Guyenne-Orthez (187,8 km)
    Etape 7 : vendredi : Orthez-Bielle (202,8 km)
    Etape 8 : samedi : Argelès Gazost-Argelès Gazost (192 km)
    Etape 9 : dimanche : Lannemezan-Foix Le Bout de Touron (164,2 km)
    Etape 10 : lundi : contre la montre Saint Agne de Ramonville-Toulouse (42,6 km)
    Etape 11 : mercredi : Clermont-Ferrand-Thiers (195,6 km)
    Etape 12 : jeudi : Roanne-Dole (188,8 km)
    Etape 13 : vendredi : Pesmes-Epinal (188,4 km)
    Etape 14 : samedi : Saint Dié des Vosges-Gaschney (170,7 km)
    Etape 15 : dimanche : Eguisheim-Le Weissenstein (SUI) (186,1 km)
    REPOS à Neuchâtel (SUI)
    Etape 16 : mardi : Neuchâtel (SUI)-Oyonnax (172,4 km)
    Etape 17 : mercredi : Oyonnax-Le Grand Colombier (201,5 km)
    Etape 18 : jeudi : Belley-Grenoble (184,9 km)
    Etape 19 : vendredi : Le Bourg d'Oisans-Mont Colombis (Gap) (202,3 km)
    Etape 20 : samedi : Gap-Valence (163 km)
    Etape 21 : dimanche : Lyon-Lyon (contre-la-montre individuel) (40,8 km)
    TOTAL : 3 497,8 km

    Etape 1 : samedi : Quimper-Quimper (contre la montre par équipes) (18,5 km)



    arrivée : avenue de Stang-Bihan
    Un contre-la-montre par équipes d'une vingtaine de kilomètres, sur de larges avenues, mais sur un relief loin d'être tout plat ; la cohésion des équipes sera donc mise à rude épreuve.

    Etape 2 : dimanche : Quimper-Montagne de Locronan (197,5 km)



    km 82,1 : Le Ménez-Kerque (171 m) 3,1 km à 5,2 %
    km 197,5 : Montagne de Locronan (268 m) 2,7 km à 4,8 %
    arrivée : sommet de la Montagne de Locronan

    La première étape en ligne se courra intégralement dans le Finistère. C'est un parcours assez plat, qui risque d'être soumis au vent, et à la pluie. L'arrivée sera jugée au sommet de la "montagne" de Locronan, abordée par son versant sud, le plus pentu (le pied est à 11 %). Certains sprinteurs seront donc éliminés de l'emballage final.

    Etape 3 : lundi : Concarneau-Saint Brévin les Pins (244,6 km)



    Une étape longue, longeant le bord de la Manche, passant par Carnac, Lorient, Vannes et Guérande. L'arrivée sera jugée trois kilomètres après le bas du pont de Saint-Nazaire qui peut se révéler un piège dans le final.
    Arrivée : avenue de Mindin

    Etape 4 : mardi : Nantes-Saint Martin de Ré (172,8 km)



    arrivée : cours Vauban

    Une étape on ne peut plus plate (le point culinant est à 78 m) pour une arrivée vraisemblable au sprint devant les remparts Vauban de Saint-Artin de Ré.

    Etape 5 : mercredi : Saintes-Sainte Foy la Grande (181,4 km)



    km 181,1 : côte de l'Aérodrome (91 m) 700 m à 7,2 % (4)
    arrivée : au niveau de l'aérodrome

    Retour sur la terre ferme, avec une étape à travers Charentes-Maritimes, Charentes et Dordogne. L'arrivée se disputera sur l'aérodrome de Sainte-Foy la Grande, après une courte (mais rude) montée de près de 700 m à 7,2 % avec un passage à 14 %.

    Etape 6 : jeudi : Miramont de Guyenne-Orthez (187,8 km)



    km 159,8 : côte de Castaignos-Souslens (132 m) 1,3 km à 6 % (4)
    km 183,1 : côte de la Gloriette (163 m) 1 km à 6 % (4)
    arrivée : avenue du Régiment de Bigorre

    L'étape un peu traditionnelle des Landes, mais qui se vallonne un peu avant l'arrivée, une dernière côte d'un kilomètre attend d'ailleursles coureurs à 4 km de l'arrivée histoire de pimenter le final.

    Etape 7 : vendredi : Orthez-Bielle (202,8 km)



    km 43 : côte de Bardos (103 m) 1,8 km à 5,3 % (4)
    km 111 : côte d'Ainhorp (257 m) 2,5 km à 5,6 % (3)
    km 136,6 : côte de Barcus (392 m) 3,3 km à 5,8 % (3)
    km 170,8 : col d'Ichère (680 m) 3,3 km à 6,1 % (3)
    km 192 : col de Marie-Blanque (1035 m) 10,3 km à 7,7 % (1)

    Une entrée progressive dans les Pyrénées, avec un relief qui s'accentue dans la deuxième partie de l'étape jusqu'aux pentes du col de Marie-Blanque utilisé au mieux (non avec 45 km jusqu'à Pau). Les pentes au pied sont sévères, et le changement de rythme sera brutal.

    Etape 8 : samedi : Argelès Gazost-Argelès Gazost (192 km)



    col de Soulor (1474 m) 7,4 km à 7,8 % (1) : km 24,5 ; 88,4 ; 152,4
    col de Spandelles (1382 m) 10,3 km à 8,3 % (HC) : km 48,2 ; 111,9 ; 175,9
    arrivée : avenue des Pyrénées

    Une étape tracée autour d'Argelès Gazost qui sera en fait un circuit de 64 km comprenant l'ascension des cols de Soulor puis celui de Spandelles, escaladés trois fois chacun, le but étant de déstabiliser les schémas pré-établis.

    Etape 9 : dimanche : Lannemezan-Foix Le Bout de Touron (164,2 km)



    km 51,7 : col de Larrieu (718 m) 4 km à 6,6 % (3)
    km 122,8 : col de Péguère (1382 m) 9,6 km à 7,6 % (1)
    km 164,2 : Le Bout de Touron (1403 m) 15,1 km à 6,6 % (1)
    arrivée : sur la D 421

    La première arrivée en altitude. Auparavant, les coureurs auront abordé le petit col de Larrieu puis le col de Péguère que j'ai également essayé d'utiliser en combinant avec une arrivée en altitude et non une arrivée à 39 km. Le Bout de Touron est raide au pied (13-14 % sur les deux premiers kilomètres) puis se radoucit, le but étant qu'il n'y ait pas trop d'écarts entre les favoris.

    Etape 10 : lundi : contre la montre Saint Agne de Ramonville-Toulouse (42,6 km)



    arrivée : pont Pierre de Coubertin, devant le Stadium

    Un contre-la-montre individuel plat, rural dans sa première partie au sud de Toulouse, puis très urbain, donc plus technique dans sa deuxième partie. C'est donc un bon contre-la-montre pour rouleurs.

    REPOS-TRANSFERT A CLERMONT FERRAND

    Etape 11 : mercredi : Clermont Ferrand-Thiers (195,6 km)



    km 20,5 : côte de Mauzun (509 m) 2,3 km à 6 % (4)
    km 42,4 : col de Toutée (996 m) 5,5 km à 5,1 % (3)
    km 53,1 : côte de Saint-Amand Roche Savine (974 m) 3,1 km à 5,7 % (3)
    km 72,5 : côte de Montgolfier (1002 m) 8,1 km à 5,7 % (2)
    km 106,9 : col du Béal (1389 m) 11,2 km à 6,8 % (1)
    km 153,6 : côte de Vollore-Montagne (857 m) 7,9 km à 4,3 % (3)
    km 188,1 : côte de Rabissay (637 m) 4 km à 6,1 % (3)
    arrivée : avenue du Progrès

    Une étape tracée dans les monts du Forez, pas suffisamment difficile pour créer des écarts entre favoris, mais sur des routes étroites et pour certaines inconnues du Tour,un favori peut connaître une défaillance, surtout après une journée de repos. A noter une dernière difficulté à 7,5 km de la ligne d'arrivée.

    Etape 12 : jeudi : Roanne-Dole (188,8 km)



    arrivée : avenue de Lahr

    Retour au calme, avec une étape plate, surtout dans sa deuxième partie. Attention, les sept derniers kilomètres comportent pas mal de rond-points, il faudra être bien placé pour l'emporter si cela arrive au sprint.

    Etape 13 : vendredi : Pesmes-Epinal (188,4 km)



    km 56,5 : côte de Seuchey (357 m) 2 km à 5,3 % (4)
    km 85,8 : côte de Guyonvelle (339 m) 1,8 km à 5,6 % (4)
    arrivée : avenue de Saint-Dié

    Une étape partant d'un des plus beaux villages de France : Pesmes. Après Gray et Champlitte, les coureurs aborderont des routes pas très larges en Haute-Marne puis arriveront dans les Vosges. L'arrivée à Epinal se déroule par une descente vers les bords de Moselle puis un bon faux-plat montant sur 1,5 km jusqu'à l'arrivée jugée près du Palais des Congrès spinalien.

    Etape 14 : samedi : Saint Dié des Vosges-Gaschney (170,7 km)



    km 34,8 : col de Mandray (691 m) 4 km à 4,7 %
    km 52,3 : col de Sainte-Marie aux Mines (768 m) 6,3 km à 5,4 % (3)
    km 73,1 : le Haut-Koenigsbourg (588 m) 5,7 km à 5,6 % (3)
    km 98,1 : le Koenigsstuhl (728 m) 6,3 km à 7,2 % (2)
    km 125,9 : Collet du Linge (979 m) 14,8 km à 4,4 % (3)
    km 154,6 : le Petit Ballon (1155 m) 10,8 km à 7,2 % (1)
    km 170,7 : Le Gaschney : 7,4 km à 6,8 % (1)

    Une étape qui fait la part belle au massif vosgien. Après le départ de Saint-Dié, les coureurs aborderont les cols de Mandray (pas difficile) puis de Sainte-Marie aux Mines. Le Haut Koenigsbourg, puis Ribeauvillé et Riquewihr seront visités. Après Munster se trouvent les deux grandes difficultés de l'étape : le Petit Ballon (1267 m) avant une arrivée au sommet au Gaschney, station du versant oriental du Hohneck, à l'issue d'une montée de 7,5 km à 6,6 %.

    Etape 15 : dimanche : Eguisheim-Le Weissenstein (SUI) (186,1 km)



    km 84,7 : Côte de Winkel (702 m) 2,2 km à 6,8 % (3)
    km 92,2 : côte de Bourrignon (771 m) 2,1 km à 6,5 % (4)
    km 116,1 : côte de Saulcy (924 m) 4,7 km à 8,6 % (2)
    km 154,6 : Le Grenchenberg (1361 m) 8,4 km à 8,2 % (1)
    km 186,1 : Le Weissenstein (1239 m) 8,3 km à 9,5 km (HC)
    arrivée : sommet du Weissenstein

    Après un début d'étape calme dans la plaine d'Alsace, les coureurs entreront dans le Sundgau puis aborderont les premiers contreforts du Jura après Ferrette. Cette excursion en Suisse leur verra proposer la côte de Saulcy, puis les ascensions du Grenchenberg avant une arrivée en altitude au Weissenstein : 8,3 km à 9,5 % de moyenne et des pointes à 22 %. C'est une étape qui fera mal aux jambes.

    REPOS à Neuchâtel (SUI)

    Etape 16 : mardi : Neuchâtel (SUI)-Oyonnax (172,4 km)



    Une étape de transition. Les coureurs démarreront du lac de Neuchâtel et traverseront le val de Travers jusqu'aux Verrières de Joux contées par Stendhal. Après un passage par Doubs et Jura, on arrivera dans l'Ain, où se dressera une côte de 4 km à 5 % à 10 km de l'arrivée située route d'Arbent à Oyonnax. Les baroudeurs pourront tirer leur épingle du jeu lors de cette étape.

    km 29,4 : côte de Saint-Sulpice (930 m) 3,6 km à 5,2 % (3)
    km 86,5 : côte du Lac des Rouges Truites (909 m) 1,9 km à 5,6 % (4)
    km 118,2 : côte des Crozets (823 m) 2,7 km à 4,1 % (4)
    km 158,8 : côte de Matafelon-Granges (449 m) 2,9 km à 5,4 % (4)
    km 165,9 : côte de Samognat (612 m) 4,5 km à 5,4 % (3)
    arrivée : route d'Arbent

    Etape 17 : mercredi : Oyonnax-Le Grand Colombier (201,5 km)



    km 12,6 : côte de Viry (820 m) 4,4 km à 5,1 % (3)
    km 64,6 : côte de Billiat (543 m) 3,4 km à 5,2 % (3)
    km 74 : côte de Franclens (527 m) 4,4 km à 4,5 % (4)
    km 100,4 : col de la Biche (1322 m) 13,4 km à 7,9 % (HC)
    km 121,3 : col du Grand Colombier via Virieu le Petit (1501 m) 8,6 km à 10,1 % (HC)
    km 162,4 : col du Grand Colombier via Anglefort (1501 m) 14,9 km à 7,9 % (HC)
    km 201,5 : col du Grand Colombier via Culoz (1501 m) 17,1 km à 7,1 % (HC)

    Une étape dantesque de 201,5 km. Le premier tiers de l'étape sera déjà accidenté. Après Bellegarde sur Valserine puis Seyssel se dressera l'ascension du terrible col de la Biche (1325 m) puis les coureurs escaladeront le col du Grand Colombier par ses trois versants : d'abord celui de Virieu-le Petit puis redescente par Culoz avant l'ascension par Anglefort, redecente par Virieu puis ultime ascension par Culoz (le plus long) pour la fin.

    Etape 18 : jeudi : Belley-Grenoble (184,9 km)



    km 77,8 : Col du Granier (1134 m) 10,4 km à 8,2 % (HC)
    km 81,4 : Col du Petit Cucheron (1139 m) 8,3 km à 6,8 % (2)
    km 97,4 : col du Coq (1430 m) 8,9 km à 8,1 % (1)
    km 147,6 : montée de Chamrousse (1721 m) 17,4 km à 6,7 % (HC)
    km 170,5 : côte de Villeneuve (875 m) 3,7 km à 12,3 % (2)
    arrivée : boulevard Jean Pain

    Une étape alpine qui remet au goût du jour le massif de la Chartreuse avec notamment l'ascension du col du Granier par Chapareillan. Mais la grosse difficulté du jour, c'est la côte de Chamrousse, 17,4 km dans sa montée finale, mais ou on montera sur près de 30 km. L'arrivée étant à près de 40 kilomètres, j'ai ajoutée la côte de Villeneuve : 3,8 km à 12,3 %. Ceux qui pensaient en avoir fini après Chamrousse en seront donc pour leurs frais.

    Etape 19 : vendredi : Le Bourg d'Oisans-Mont Colombis (Gap) (202,3 km)



    km 44 : col du Lautaret (2058 m) 8,8 km à 5,1 % (2)
    km 91,2 : col d'Izoard (2361 m) 18,8 km à 6,2 % (HC)
    km 149 : côte de Puy-Sanières (1168 m) 4,8 km à 6,6 % (2)
    km 162,8 : côte de Saint-Apollinaire (1269 m) 7,5 km à 6,8 % (2)
    km 178,3 : col Lebraut (1110 m) 5 km à 5,8 % (3)
    km 202,3 : Mont Colombis (1634 m) 10,8 km à 9,2 % (HC)
    arrivée : sommet du Mont Colombis

    Une étape où on dépassera enfin les 2 000 mètres d'altitude, avec les classiques Lautaret et Izoard. J'ai privilégié ce trajet, car je pouvais durcir le final avant l'ascension du Mont Colombis : 10,8 km à 9,2 %, 995 m de dénivelé. Ce sera la dernière explication en montagne entre les favoris.

    Etape 20 : samedi : Gap-Valence (163 km)



    km 44,1 : col de Cabre (1180 m) 8,3 km à 4,6 % (3)
    km 105 : col de la Croix (734 m) 4,5 km à 5,6 % (3)
    arrivée : avenue de Lyon

    Une étape de transition avant le dernier contre-la-montre dominical. Je n'ai pas voulu en rajouter, mais s'il y a deux petits cols, mais rien de méchant. Une arrivée au sprint est donc possible à Valence.

    Etape 21 : dimanche : Lyon-Lyon (contre-la-montre individuel)



    départ : place des Terreaux
    arrivée : place Bellecour

    Un ultime contre-la-montre pour départager les favoris, si ce n'est déjà fait. Le parcours emprunte le côte de la Croix-Rousse (par l'est) puis tutoye les monts du Lyonnais avant une dernière partie plus technique, avec la descente de Tassin la Demi-Lune pour regagner les bords du Rhône puis la place Bellecour, terme de ce Tour de France.
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    Thomas Vergouwen - le mardi 22 mai 2012 à 12h05 permalink

    Bonjour Tony,

    Je viens de transformer les adresses que tu avais mis pour les images en images intégrées.

    Pensez à le faire directement la prochaine fois puisque je n'ai pas toujours le temps (ou l'envie ?) de le faire ;-).
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    Tony - le mardi 22 mai 2012 à 12h49 permalink

    Oups...désolé, promis je le ferai la prochaine fois
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    Olivier - le mardi 22 mai 2012 à 20h07 permalink

    Bonjour Tony,

    ça c'est un tracé comme je les aime.

    Une 1ère semaine truffée de petites cote qui feront la joie des puncheurs.

    Une 1ère étape pyrénéenne pas trop dure, mais l'arrivée au pied de Marie Blanque devrait exciter les grimpeurs, surtout en passant pat le coté le plus dur de Marie Blanque.

    L'étape Soulor, Spandelles est démentielle. De très gros écarts peuvent déjà être fais ici. Ça va faire mal.

    L'étape de lendemain est beaucoup plus sobre, pourquoi pas vu l'étape de la veille.

    Le massif central est promis au baroudeurs, avant des Vosges et Jura très très belles. Cela change des étapes ASO dans ces massifs intermédiaires. Celles ci pourraient être décisives.

    L'étape du Grand Colombier est originale, il n'y aura certainement aucune attaque avant la dernière étape du Colombier, mais les ascensions précédentes vont augmenter les écarts finaux.

    L'étaep de Grenoble me botte moins. Chamrousse, ce n'est pas extraordinaire col col, et heureusement qu'il y a la cote de Villeneuve pour s'assurer de spectacle dans le final (même si la descente et le plat jusqu'à l'arrivée à Grenoble risque d'en refroidir plus d'un). Enfin très belle étape de montagne pour finir, avec une montée difficile.

    Les 80km de CLM individuels + le CLM par équipe me semblent bons pour avoir un tracé équilibré.

    En conclusion, un très beau tracé, difficile, équilibré et innovant.
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    André - le dimanche 27 mai 2012 à 20h11 permalink

    bonsoir Tony.

    Je suis 100% d'accord avec Olivier : très bon parcours !

    J'avais "pointé" un manque d'originalité en commentant votre itinéraire au départ de Belfort. Vous nous avez cette fois pris à "contre-pied" :
    "triplette" Soulor-Spandelles (déjà présent vers Argelès-Gasost dans votre précédent Tour), inédits sur "vélowire" vers Touron, Gaschney, le Wessenstein, la belle cote de Villeneuve vers Grenoble (je partage le "bémol" d'Olivier sur cette étape à "rebrousse-cols" c'est-à-dire abordés par les versants les moins pentus), le final piègeux Marie-Blanque/Bielle (je n'y avais jamais pensé...), le Grand Colombier à toutes les sauces (j'ai proposé en 2010 un "tryptique du Ventoux" du meme tonneau).

    Nous partageons d'autres "schémas" : j'ai en tiroir un grand départ d'Océanopolis-Brest vers Locronan avec une demi-douzaine de cote dont la montagne qui surplombe la localité suivi d'un "envol" de Quimper d'une part, et un tracé avec une "diagonale" Pyrénées-Vosges d'autre part. Le Mont Colombis : je l'avais proposé en "cronoscalata" en novembre 2011.

    Bon positionnement et juste répartition des cronos.

    Je n'ai pas souvenir de Giro ou Vuelta de votre inspiration.


    Salutations.
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    Moi - le samedi 27 octobre 2012 à 00h18 permalink

    Juste un petit détail, pour être passé par le Weissenstein en voiture, c'est déjà impressionnant, col magnifiquement dur, mais jamais le tour n'y passera : il n'y a pas de place au sommet...
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    Aurélien M. - le samedi 27 octobre 2012 à 09h22 permalink

    Bonjour Tony,

    Que dire après André et Olivier ?
    Tout d'abord félicitation, c'est un parcours rêvé, toute ces petites côtes pour rendre plus pétillante une étape de plaine où nous sommes toujours contraint de guetté si oui ou non il y aura bordure ou chute pour voir la course plus décantée.
    Les chronos sont parfait, même si j'aimerai bien voir un jour un chrono par équipe plus en milieu de tour (ce qui peut tout changer avec des équipes moins nombreuses, un chrono plus long également, la fatigue qui est enfin présente pour changer la donne : ce sera sur mon prochain parcours).
    Par contre j'ai du mal avec 3HC le deuxième jour de montagne, la boucle est intéressante, mais faire deux tours avec une petite boucle ailleurs auparavant aurait été sympathique. le Spandelles en HC, tout comme Chamrousse ? Cela m'inquiète pour mon prochain parcours où j'avais déjà 9 HC cela me ferait passer à 11 (si quelqu'un d'autre peut me confirmer les propos de Tony cela m'arrangerait pour modifier un tant soit peu mon prochain parcours).
    Contrairement à Olivier je rouve le Touron excellent, mais ne va aps jusqu'au bout, arrête toi à peine plus bas (v. 1380m au croisement vers les espèces de trucs météorologiques) pour y faire glisser tous les véhicules après, si tu regarde mon dernier tour mis en ligne je m'arrêtais en Pays-Basque au col de Méhatché au lieu de pousser jusqu'au Arazmendi (1.3 km à 13% quand même c'est dommage) pour y laisser passer les véhicules. Belles étapes vosgiennes et jurassiennes, d'autant que tu as pris l'initiative d'aller en Suisse pour trouver des montées difficiles (ce qu'il n'y a pas en France).
    Pour Oyonnax j'aurai eu une autre approche, par la D13, tu as une étape pour baroudeur alors autant mettre un peu plus de piment, ca monte longtemps mais c'est pas dur.
    Pour le Grand Colombier, sentiment mitigé : tout d'abord bravô pour le parcours, mais en même temps je ne me permettrait pas de faire passer le peloton au même endroit dans deux sens différents pour le TDF (Vuelta et Giro c'est autre chose), problème avec la caravane qui risque de croiser le peloton (j'essaye de rendre les choses plus réalistes, c'est mon côté cynique habituel qui ressort).

    L'étape de Grenoble par contre me déçoit, elle commence bien mais avec Chamrousse elle se gate. Regarde mon second tour en ligne (ou troisième je ne sais plus) pour voir une autre approche plus costaud il est vrai, un des rares moyen d'avoir une belle étape. Ou alors il faut venir du sud et monter par le Luitel.

    Bonne idée du Colombis, félicitation (idem pour vous André), mais j'aurai eu une approche par Pontis et Saint-Vincent les Forts pour avoir moin de vallée dans le final.

    Finir à Lyon, là je ne suis pas contre, mais il est dommage d'oublier Paris (ou sa banlieue) au passage qui aurait pu accueillir une arrivée en ligne, un chrono et un départ.

    Félicitation pour ce parcours,
    Quelques petites critiques mais c'est mon habitude il faut m'en excuser.

    Ps : si quelqu'un pouvait répondre à mes interrogations formulées via ce parcours, j'en serai très reconnaissant.
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    Anonyme - le mercredi 18 septembre 2013 à 19h36 permalink

    Désolé si ce n'est pas une critique de ce tour fictif mais pourrais-je savoir comment fais t'on des profils comme ici s'il vous plaît ?
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    Tony - le mercredi 09 octobre 2013 à 18h11 permalink

    Bonjour Anonyme
    il faut se rendre sur le site Tracks Biker pour avoir les profils (attention il est limité à 200 km ce qui est parfois pénible). Après je complète avec Paint par exemple et c'est le cas de le dire, le Tour est joué

    Bon courage
    répondre citer
    crico370 - le jeudi 10 octobre 2013 à 19h17 permalink

    Salut Tony,
    Voci mon petit avis, sur ce Tour :
    Une première semaine réussie, surtout le passage en Bretagne avec la côte du pont de St-Nazaire qui sera dur à passer avec le vent qui y souffle.
    De belles étapes pour la plupart, j'aime bien moi quand les finals en bosses sont composés de 3-4 côtes d'affilés, mais bon ce n'est qu'un petit détail.
    Je trouve la première étape pyrénéenne réussie ainsi que la troisième.
    Je dirais de même sur la seconde si celle-ci n'avait pas été un circuit en boucle, je déteste cette idée d'insérer ça dans un grand Tour. C'est le gros bémol des pyrénées. Les CLM sont bien tracés, j'aime bien l'idée de mettre beaucoup de virages dans les CLM, c'est vraiment pour moi le grand intérêt de cette épreuve solitaire.
    Belles étapes de transition. Je n'apprécie cependant pas l'étape du grand colombier et cette répétition de cols.
    Je n'apprécie pas trop les Vosges non plus. Ils sont trop "montagneux" à mon goût, mais je devrais dire que l'utilisation de grands cols est d'après moi non préconisé. Je parierai plus sur un enchâinement de col à la pelle, des étapes ou ça n'en finit jamais, c'est mieux.
    Pour moi les deux étapes bonnes sont l'étape du Gachney, et son enchâinement de cols, et celle de Grenoble qui succède à Chamrousse.

    Il aurait fallu deux ou trois cols d'après moi avant le Mont Colombis. Je n'aime pas trop cette étape. C'est sur que il y a beaucoup d'originalité dans ce Tour, je pense surtout au col de la Biche, aux ascenscions du grand colombier et au bout de touron. Mais tu devrais laisser ça de côté.
    Deux dernières étapes très réussies, bonne fin de Tour.

    A bientôt.

    J'éspère un Tour de France très réussi la prochaine fois.
    Tu peux faire mieux.

    Crico
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      il est sûr que là la question est plus délicate car il n'y a pas un autre endroit dans le coin qui reçoit déjà le Tour qui pourrait facilement remplacer cette arrivée


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