Une première tentative de tour de France. Un départ inédit avec Karlsruhe et 3 premiers jours dans le sud-ouest de l'Allemagne. Le reste est sans doute un peu plus classique...
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Bonjour,
voici un premier parcours fait au fil de la carte.
La "première" semaine est sans doute un peu longue et peut-être un peu plate (à quelques exception près).
Le grand départ se fait à la frontière entre la France et l'Allemagne dans la ville de Karlsruhe, capitale juridique de la république fédérale située à la limite entre la grande plaine du Rhin et le nord de la forêt noire.
Le prologue est très classique, aucune difficulté. Le départ se fait au pied de la cour constitutionnelle allemande et du château autour duquel ce prologue est construit.
6.8km, D+=13m
Lors de la première étape, le peloton met cap au nord en direction de Mayence, une petite traversée des collines du Palatinat puis une arrivée sur les bords du Rhin, devant la cathédrale de Mayence.
173km, D+=1041m
Le lendemain, demi-tour en passant sur la rive droite du Rhin avec un départ de Francfort-sur-le-Main en direction de Stuttgart.
L'arrivée se fait sur la colline de Degerloch au sud de la ville.
Une arrivée en côte (3e cat., 3.9 km à 5.6%) est au programme de cette seconde étape.
191km, D+=1526m
Pour terminer ce triptyque allemand (avec le prologue ça fait 4 journées), le peloton se rapproche de la frontière. Un départ dans la ville balnéaire et francophile de Baden-Baden pour une arrivée à Fribourg-en-Brisgau, l'une des villes les plus cyclables d'Allemagne (troisième au classement de 2015, Karlsruhe occupant la deuxième place). L'étape traverse la forêt noire et sera la première de montagne dans ce tour de France avec deux ascensions de première catégorie : le Mont Kaltenbronn (1ere cat., 11.7 km à 6.3%) en apéritif et le Mont Kandel (1re cat., 11.5 km à 7.7%) pour clore cette étape avec l'arrivée jugée devant le stade du SC Freiburg.
182km, D+=3017m
C'est maintenant le retour sur le territoire français pour le peloton qui relie l'Alsace à la Moselle. Entre Strasbourg et Metz, il fera une dernière incursion en Allemagne pour un sprint intermédiaire jugé à Sarrebruck.
194km, D+=1275m
La traversée vers l'ouest continue pour cette cinquième étape entre Metz et Charleville-Mézières. Aucune difficulté le long de ce parcours, mais un sprint intermédiaire jugé en côte à Luxembourg.
178km, D+=1019m
Dernière étape pour pur sprinter de cette première semaine, la sixième étape relie Saint-Quentin à Rouen. Encore une fois aucune difficulté, quelques casse-pattes pour junior mais rien de plus. L'arrivée est jugée en descente (-5% sur le dernier km).
189km, D+=1078m
La septième étape permet au peloton de visiter les sites forts du débarquement. Le départ est donné à Caen puis la route longe la côte sur 90km avant de rejoindre Sainte-Mère-Eglise. Le sprint intermédiaire est jugé à Cherbourg puis direction le sud avec une arrivée en côte au phare de Carteret (600m à environ 10%)
192km, D+=1005m
La huitième et dernière étape avant la première journée de repos voit le peloton quitter la Normandie pour la Bretagne. Après un sprint à Saint-Malo, c'en est fini de la côte pour ce tour de France. L'arrivée est jugée à Mûr-de-Bretagne.
176km, D+=1390m
Journée de Repos : le lundi (pour des raisons de droits TV notamment) à Bordeaux.
Le peloton repart depuis Libourne après une journée de repos bien méritée et suit la Dordogne puis la Vézère jusqu'à Brive-la-Gaillarde. Une seule difficulté: la côte de Jor.
174km, D+=847m
Dernière étape avant les Pyrénées entre Brive-la-Gaillarde et Montauban. Pas de grosse difficulté non plus dans cette étape (une 3e et une 4e cat.) mais un parcours relativement accidenté tout de même (double du dénivelé de la veille).
182km, D+=1787m
La première étape pyrénéenne, entre Marciac (célèbre pour son festival de Jazz) et Saint-Jean-Pied-de-Port n'offre qu'une seule difficulté : le col Inharpu (1ere cat., 17.4 km à 5.1%), relativement roulant (les plus fortes pentes sont au pied du col).
168km, D+=2196m
Les coureurs ayant eu la possibilité de se tester gentiment avec le col Inharpu, l'étape Reine des Pyrénées leur offre de quoi faire de gros écarts entre Pau et Luchon-Superbagnères !
Au programme, deux cols de seconde catégorie, deux cols hors catégorie avant de finir par la montée vers Luchon-Supebagnères, classée en première catégorie.
Col d'Aubisque (HC, 1702 m, 17.0 km à 7.2%)
Col du Tourmalet (HC, 2129 m, 18.9 km à 7.5%)
Col d'Aspin (2e cat., 1477 m, 12.2 km à 5.1%)
Col de Peyresourde (2e cat., 1575 m, 9.6 km à 7.0%)
Luchon-Superbagnères (1ere cat., 1775 m, 17.0 km à 6.7%).
214km, D+=6594m
La dernière étape montagneuse des Pyrénées est également la plus longue de ce tour de France. Elle relie Saint-Godens à Andore-la-Vieille. Quatre difficultés sont au programme, mais aucune ne présente de forts pourcentages moyens. Cependant le sommet de ce tour de France, le Port d'Envalira pourrait jouer des tours de par son altitude et la pente qui augmente en se rapprochant du sommet.
Col du Portet d'Aspet (2e cat., 1059 m, 9.1 km à 6.1%)
Col de la Core (1ere cat., 1399 m, 15.3 km à 5.7%)
Port de Lers (1ere cat., 1508 m, 16.6 km à 5.2%)
Port d'Envalira (HC, 2399 m, 35.1 km à 4.7%).
228km, D+=5097m
On reste dans les Pyrénées pour la quatorzième étape mais on se contente ici des contreforts. Les sprinteurs passant les bosses facilement et qui ont bien résisté aux deux étapes particulièrement longues des jours précédents peuvent s'adjuger l'arrivée à Perpignan. Il leur faut cependant passer le Col de Boca Jalère (2e cat., 11.8 km à 5.4%), situé un peu plus de 50km avant l'arrivée.
195km, D+=2189m
Avant la deuxième journée de repos, les coureurs doivent encore relier Le Caylar, situé à l'extrémité sud-est du Causse du Larzac.
Encore une fois, une côte de 2e catégorie se dresse sur le chemin, cette fois un peu plus près de l'arrivée : la Côte de Lunas (8.5 km à 5.3%)
183km, D+=1990m
Deuxième journée de repos : Mardi, à Millau (ou sur le Plateau du Larzac, mais les hôtels y sont quasi-inexistants)
Une fois n'est pas coutume, la troisième semaine commence par un contre-la-montre. Celui-ci s'apparente fortement à une course de côte puisqu'après 57km plutôt plats dans la vallée puis les gorges du Tarn, la route s'élève pour arriver sur le Causse Méjean (7.3 km à 7.2%).
65km, D+=922m
On quitte maintenant le Parc Naturel Régional des Grands Causses, tout en restant dans le Massif-Central. La route relie Langogne à Saint-Étienne en passant notamment par le Mont-Gerbbier-de-Jonc et la source de la Loire, après quoi il leur faudra monter la Côte de Borée (2e cat., 9.3 km à 4.8%).
S'ils ne sont pas décrochés dans le début de l'étape fortement accidenté, les sprinteurs pourraient bien profiter de cette étape pour s'expliquer avant les deux étapes alpestres.
166km, D+=2592m
Pas le temps de trop souffler entre le Massif-Central et la Alpes : on attaque directement le massif de la Chartreuse pour relier Lyon à Grenoble.
On le traverse cette fois-ci dans le sens Nord-Sud après avoir eu le col de l'Épine en hors-d'œuvre.
Col de l'Epine (1ere cat.,7.9 km à 7.1%)
Col du Granier (1ere cat., 15.1 km à 5.8%)
Col du Cucheron (2e cat., 8.0 km à 6.1%)
Col de Porte (2e cat., 7.6 km à 6.6%)
174km, D+=3214m
Même si les Alpes ne sont présentes que lors de deux étapes lors de ce tour de France, elles devraient toute fois être un véritable juge de paix avec l'avant-dernière étape très copieuse ! Un col de 2e catégorie, deux hors catégorie et deux de première catégorie dont l'arrivée aux Deux-Alpes.
Montée de Chamrousse (HC, 20.6 km à 6.3%)
Montée de l'Alpe du Grand Serre (1ere cat., 15.2 km à 6.6%)
Col d'Ornon (2e cat., 9.8 km à 4.9%)
L'Alpe d'Huez (HC, 14.1 km à 7.8%)
Col de Sarenne (2e cat., 3.0 km à 7.9%)
Les Deux Alpes (1ere cat., 8.8 km à 7.0%).
183km, D+=5580m
Enfin, la dernière étape est tout à fait classique : un départ de Chartres, une arrivée à Paris en passant par les grandes écoles parisiennes (Plateau de Saclay, Quartier Latin...) puis un peu de tourisme dans la ville (Ile de la cité, Père Lachaise, Buttes Chaumont, Grands Boulevards Haussmanniens) avant d'arriver sur les Champs-Élysées pour sept tours de boucle.
156km, D+=744
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Distance totale : 3568km
Nombre d'ascensions : 26 (5 HC, 10 1ere cat., 11 2e cat. plus 9 3e cat. et 15 4e cat.)
Nombre d'ascensions finales : 5 (Saint-Jean-Pied-de-Port est limite mais dehors je pense)
Nombre d'arrivées au sommet : 2
Nombre d'arrivées en haut de côtes : 3
Distance totale en ITT : 72km
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Toutes mes étapes ne sont pas forcément originales (j'ai découvert après coup que l'étape des Deux-Alpes existait déjà, ou encore que le début de celle d'Andorre est prévu pour cette année, mais je ne voulais plus changer) à l'exception peut-être de l'Allemagne.
La première semaine est peut-être un peu trop longue ou trop plate (cependant, sur les 8 arrivées, il y en a une de Montagne et trois en haut de côtes mais la succession n'est pas forcément idéale).
Aussi, le ITT est sans doute un peu long (même si les dix premiers km sont en descente, mais pour l'idée, je trouvais sympa de partir de Roquefort puis de passer sous le Viaduc plutôt que de partir de Millau). L'arrivée aurait put être jugée en haut de la côte de Boyne (où les coureurs devraient passer cet été selon toute vraisemblance) mais je trouvais que ça manquait d'originalité...
J'ai essayé de me limiter dans la longueur totale pour rester dans les standards (moins de 3600km) et il en est de même pour les ascensions.
Bonjour casque fou(joli pseudo) et bienvenu sur à votre tour,
Tout dabord belle presentation.
Japprecie les departs allemands. Le tien est plutot bon même sinpersonellement jaurais durcis l'etape de la forêt noire où il y a trop de plats entre tes deux enchainements de côtes.
5 etapes de plaine malgre deux arrivees en côtes cest trop. pour quoi ne pas nous proposer une etape pavee ou une etape dans les ardennes?
2 etapes pour sprinter ensuite bof bof. Va pour la premiere etape pyreneenne.
Superbagneres bonne etape mais un peu charge a mon gout: jaurais enlever l'aubisque.
Note: pour moi peyresourde cest une 1C et superbagneres un HC mais cest un detail.
Jaime bien le port d'envalira donc ok pour ton etape andoranne.
Ok pour ta fin de deuxieme semaine.
Ton chrono je le trouve trop long et je trouve dommage que ton seul chrono soit aussi vallonee. pour moi dans l'ideal il faut un chrono vallonee+ un chrono plat ou si il ny en a qu'un un chrono plat.
Jaime bien l'idee d'un dernier massif court meme si je n'en fait jamais. Bonne etape dans les alpes.
En conclusion: Un premier parcours plutot bon. Ta premiere semaine est faiblarde apres l'allemagne. Il fait que tu bosses tes etapes vallonnees: je compte 10 sprint plus ou moins massif dans ton parcours (8 est un maximum pour moi). Sinon tes etapes de montagne sont bonnes.
Bonne journee
Bonjour "Casque Fou".
Bienvenue sur Velowire, et bravo pour la présentation.
Hélas, votre première épure ne soulève pas mon enthousiasme.
Bien qu'habitant en région germanophone, un départ hors-frontière heurte mes "dogmes". Quatre étapes en "Bundesrepublik", c'est "kolossal" !
Je me suis donc toujours abstenu d'une entame autour d'Aix/Aachen, qui offre pourtant un très beau terrain pour un début de Tour.
Sportivement, ces étapes sont assez réussies.
Pas nécessaire de durcir, aussi tot, vers Fribourg.
La suite est moins bonne. Les Ardennes et le contour de Rouen auraient mérités d'etre mis en "valeur".
Quelles sont les difficultés avant le Mur de Bretagne ?
Transfert ... évitable.
Les Pyrénées :
Je souscris pleinement à un rapport 4/2 entre les deux grands massifs avec deux étapes déterminantes sur le second.
Las, les Pyrénées ne valent que par cette superbe reprise des cols du cercle de la mort plus Superbagnères.
Dans ce contexte, il aurait été préférable de limiter le massif à cette belle étape.
Le Caylar : figure dans mes "cahiers" via une étape que j'avais présenté en 2013-2014 mais avec les montées de Fondfroide (971m 11,8 km 6,6%), de Salvergues (1054m 3 à 5,3), Treize Vents (583m 3 à 7,2), Marquière (372m 2,1 à 6,2), Baraque de Bral (610m 5 à 7,7) et, à 11 km de l'arrivée, le cirque de Labeil (747m 4 km à 8,5%).
Le col de Lunas (non négligeable) se situe à 20 km du terme.
Ok pour le clm. vers le Causse Méjean.
Saint-Etienne : dommage de ne pas exploiter certains pans de montagne ou cotes pentues dans ces secteurs.
Les Alpes :
Réussies, avec cette reprise du final de 1968 vers Grenoble, et cette grosse étape vers Les Deux Alpes.
Bel effort d'imagination pour le ... tourniquet.
Des "trucs" pas mal (les étapes clés sont aux endroits justes), mais un manque d'audace et de recherche sur les massifs intermédiaires.
Hélas, sur l'échelle Aso/Hamm, ce tracé s'inscrit (malgré deux grosses étapes de haute montagne) dans le conservatisme (meme si vous assumez plus de risques) de l'"orthodoxie-doctrinaire-poltronne" des "baillis sclérosés" d'Issy-les-Moulineaux, plutot que dans la ligne audacieuse du "Grand Maitre d'Alsace".
Ciao.
Bonjour Casque Fou,
bienvenu sur le Site.
Ce tour ne m'enthousiasme pas non plus, et je ne suis pas pour un Grand Départ étranger, sauf de temps en temps : mais là, oser un départ à l'étranger pour un premier tour de France relève presque d'un manque d'idée. Aussi, encore un détour en Allemagne pour l'étape vers Metz et un détour vers Luxembourg pour l'étape arrivant dans les Ardennes : nous pouvions vraiment nous en passer.
Départ correct : un prologue, une arrivée en bosse peu attirante (surtout je n'aime pas ce genre d'étape vallonnée). La Forêt Noire, vu que le Kandel est loin de l'arrivée, aucun "favori" ne bougerait, d'où le peu d'intérêt pour ce genre d'étape de ma part (les étapes pour attaquants lointains ne sont pas ma tasse de thé, si un attaquant veut gagner, il doit faire les efforts, pas lui offrir un parcours où le peloton laisserait l'échappée y aller).
4 jours de plat de suite : c'est plutôt ennuyant, et surtout je ne comprend pas l'intérêt d'une arrivée en "descente" à Rouen, c'est plutôt "dangereux" pour le sprint.
Mûr-de-Bretagne, je pense que les bosses ne sont pas très intéressantes, puisqu'il faut vraiment gratter pour tracer un parcours difficile dans le coin : je ne suis donc à nouveau pas pour.
Donc, quand on fait le point sur la première semaine : 6 sprints, 2 sprints en côte, 1 prologue et une étape "montagneuse" où il ne peut rien se passer. Avec ce genre de parcours, je crois que j'allume ma télé seulement 16h45 pour regarder l'arrivée !
Mauvais choix de transfert, pourquoi Bordeaux/Libourne alors que Poitiers était plus accessible ?
Saint-Jean-Pied-de-Port, comme précisé, Inharpu est roulant, hormis 3 ou 4 km vraiment durs. Ce genre d'étape ne donnerait pas grand chose, puisqu'il faut descendre et avoir encore de la vallée pour rejoindre la ligne, le parcours n'est pas assez dur pour garantir une sélection suffisante pour avoir le mouvement espéré.
Luchon, forcément des dégâts avec cet enchaînement des "classiques". D'ordinaire je ne suis pas pour un enchaînement Aspin-Peyresourde, je privilégie Ancizan-Azet-Peyresourde ou Aspin-Lançon-Azet-Peyresourde, mais vu que l'arrivée se fait à Superbagnères, le passage plus classique n'est pas un problème.
Le reste des Pyrénées n'apportent rien de plus : Envalira pour une arrivée dans la ville d'Andorre c'est moyen. Certes la montée est longues est la pente va crescendo, mais la longue descente ne joue pas en faveur des tentatives lointaines. Donc, elle est peu utile pour le général.
La dernière étape pyrénéenne est le genre d'étape que je n'aime pas voir, avec un parcours pensé pour supprimer les sprinteurs, puisque aucun sprinteur ne tenterait le coup sans se jeter dans l'échappée dans ce genre d'étape (après 3 étapes de montagne, rares sont les équipes à vouloir travailler).
Les plateaux :
Le Caylar, contrairement à André, je n'approuve pas les arrivées dans ce genre de bled, alors que Lodève n'est pas loin ! Dans le coin, j'ai dû seulement utiliser La Cavalerie André a quand même présenté de nombreuses bosses autour pour éviter cette côte de Lunas trop peu intéressante parce que pas assez longue, pentue et trop loin de l'arrivée (20 km de plateau c'est 25min d'effort à fournir pour ceux qui veulent tenter, c'est beaucoup). Je suis incapable de localiser cette côte.
chrono long, mais vu que c'est le seul du tour, ok, mais je regrette la montée finale : un chrono vraiment plat ne devrait pas être un problème.
Pour le départ, pourquoi encore un bled alors que La Cavalerie ou Saint-Affrique sont à côté ? Il n'y a rien où tu arrives. Je ne comprend donc pas le site.
Une nouvelle fois, étape dure, je pense même trop dure pour le sprint, donc peu utile.
Les Alpes, c'est bon, sauf que Chamrousse n'était pas utile vers les 2Alpes.
L'Alpe de Grand Serre, c'est le col de la Morte. Bon, les 2Alpes, ce n'est pas mon approche préférée (je préfère Mollard, Croix de Fer avant l'Alpe), mais ca reste une bonne étape.
Pourquoi Chartres et pas une ville plus facile d'accès depuis les Alpes.
Sacré André pour le tourniquet ;) , tourniquet qui m'ennuie au plus haut point (ça doit faire presque 10 ans que je n'ai pas regardé la dernière étape du tour !)
Pour ce tour, je retiens 3 bonnes étapes de montagne (Les Alpes + Luchon), mais surtout des massifs intermédiaires et des étapes vallonnées ratées (je suis vraiment regardant là-dessus), et une certaine frilosité dans l'innovation (Inharpu n'est pas nul en soit, mais vraiment mal utilisé ; Envalira aurait mérité être suivi d'un Ordino pour durcir le tout et même du Beixalis, ou d'une arrivée au sommet assez proche (Envalira, Ordino, Beixalis et Cortals d'Encamp est la meilleure approche dans le coin)).
Pour les Causses, j'aurais aimé voir une étape osée, avec de nombreuses montées et descentes.
Bonne journée
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