À votre Tour : TOUR DE FRANCE 104/GIRO D'ITALIA 100
Projections sur base d'éléments concrets et idees, inspirations, voire reves pour le futur Tour d'Italie et le futur Tour de France
Projections sur base d'éléments concrets et idees, inspirations, voire reves pour le futur Tour d'Italie et le futur Tour de France
Bonsoir AT.
Souvenons-nous qu'en 2010, un coureur seul au sommet du monte Grappa (gravi par Semonzetto) avait creusé l'écart dans la descente avant de résister face au vent sur les 18 km de plat vers Asolo : Vincenzo Nibali !
Habitué des Dolomites, je connais mieux ses descentes.
Entre le sommet du passo Gardena et Ponte Gardena (pied de la montée de Pontives), les coureurs vont descendre en deux temps.
La partie haute (12 km), du passo Gardena est technique, mais après Selva la jonction des trois stations (7 km) est plus inégale avec un "piqué" à Santa Cristina.
Le Pinei est court mais rude sur le sommet. Je n'ai pas de souvenir précis de la descente sauf que la pente est très forte après Castelrotto.
Vous évoquiez 2012. Pourtant, rarement un grand Tour avait proposé trois (Cortina, Alpe di Pampeago, Stelvio) étapes de haute montagne aussi belles.
En 2011, 8 coureurs (Voeckler, A. Schleck, F. Schleck, Evans, Contador, Basso, Cunego, et Sanchez se tenaient encore en environ 3 minutes avant les grands cols alpins à quelques jours de Paris.
Un an plus tard, on a vécu le meme suspense au Giro, avec une demi-douzaine de coureurs et une course longtemps bloquée.
Mais, ce fut une année charnière puisque, exceptés Basso et Evans, aucun des ténors du Tour 2011 ne figura parmi les principaux participants du Giro ou du Tour 2012.
Le Blockhaus et Piancavallo sont quand meme des montées très "sèches".
En fait, depuis une dizaine d'années, le Giro a reposé sur deux massifs de haute montagne, entre Dolomites, Lombardie, et Alpes occidentales avec un premier round sur l'avant-dernier week-end et le second à la fin; et parfois en "prime" une étape de moyenne montagne piège (Verbania, Andalo) intercallée.
Cette fois, on a relié le Valtellina aux vallées ladines avec seulement deux étapes de haute altitude et un semi-break aujourd'hui.
Puis deux étapes (Piancavallo, Asiago) qui ne sont pas super-dures.
Le suspense sera t il maintenu après Ortisei ?
Foutue bonne question.
Un chose est au moins sure : s'il fait soleil ne pas manquer la beauté des paysages.
S'il pleut, le "requin" devrait etre comme un poisson dans l'eau ...
Ciao.
Ce Giro va rester comme l'un des plus serrés (si ce n'est le plus serré) de l'histoire. Incroyable de voir Dumoulin, Quintana, Nibali, Pinot, Pozzovivo et Zakarin plus ou moins tous au même niveau en montagne ! Du coup on peut vraiment regretter que Mikel Landa ait été mis hors course par une moto : c'était peut-être lui le plus fort.
Si les écarts en restent là, Quintana pourrait tout simplement être éjecté du podium étant donné ses carences contre la montre. Toute la question est de savoir si Dumoulin craquera encore demain. S'il craque et perd tout espoir de sacre, Quintana, Nibali et Pinot peuvent espérer gagner à Milan sans même attaquer. En revanche, si Dumoulin ne craque pas "tout seul", l'attaque est obligatoire - mais qui en a les moyens ?
Par ailleurs - c'est peut-être de la naïveté de ma part - mais je me demande quand même si cet incroyable nivellement des valeurs avec des favoris incapables de changer de rythme n'est pas le signe que le dopage est moins présent qu'il y a quelques années.
L'échec des grimpeurs en montagne aura donc mené à la victoire une machine à watts qui a su bien résister en montagne. J'ai pas l'impression non plus que Dumoulin ait été si fort en montagne que ça.
Depuis Froome sur la Pierre Saint Martin il y a 2 ans, je ne crois qu'il y ait eu de performances extraordinaires en montagne. Tout le monde a l'air de se tenir plus ou moins et il n'y a que les coups de Trafalgar "à la Contador" qui permettent encore de distancer nettement ses adversaires en montagne.
Sur ce Giro, je regrette quand même qu'il n'y ait pas eu de véritables murs (l'Italie en compte tellement). Les montées les plus raides étaient le Blockhaus (comparable au Ventoux), l'Umbrail (disons un Joux-Plane un peu plus long et en haute altitude) et Piancavallo (comparable à l'Alpe d'Huez), rien que la France n'aurait pu proposer. Ca manquait de Zoncolan, Mortirolo par Mazzo, ou même Fedaia ou Alpe di Pampeago.
J'ai essayé de "lifter" la seconde moitié du parcours en reprenant les mêmes villes étapes (à une exception près : Castellania est remplacée par Aviano en contrebas de Piancavallo).
Ca donne :
Tout pareil jusqu'à l'étape 13 (même si on pouvait sûrement améliorer des trucs avant)
Etape 13 : Reggio Emilia - Asiago (par le Monte Corno : 15 km à 7 %)
14 : Aviano - Piancavallo (Cronoscalata avec 1500 m de plat au début)
15 : Pordenone - Canazei (Staulanza, Falzarego, Giau, Fedaia)
Repos dans le Val di Fassa
16 : Moena - Ortisei (Pordoi, Campolongo, Gardena, Sella, Pordoi, Campolongo, Gardena)
17 : San Candido - Bormio (Giovo, Stelvio)
18 : Tirano - Bergamo (San Marco, Miragolo San Salvatore, Selvino, Bergamo Alta)
19 : Rovetta - Oropa (course de côte)
20 : Valdengo - Tortona (plaine)
21 : Monza - Milano (ITT)
Exit donc le Monte Grappa mais en contrepartie on a moins de courses de côte et elles ne sont pas placées en fin de Giro comme "en vrai" (Oropa est le dernier RDV mais ce n'est pas une montée très dure), et on a Giau-Fedaia, la Sella Ronda et le Stelvio par le versant mythique (certes isolé mais sur une étape très longue qui suit deux étapes avec enchaînement de cols). En plus on a Bergame pour tenter le diable après la montagne. Et, cerise sur le gâteau, les sprinteurs seront invités à passer la montagne pour décrocher le pompon à Tortona. Bref, tout le monde est gagnant !
Bonjour AT.
Je commenterai la seconde partie du Giro.
Tour de France 1968.
Au matin de la dernière étape de montagne Grenoble-Sallanches (Champlaurent non classé GPM, Tour Blanche rebaptisé Fort de Mont Perché en 1982 et versant sud de Bonvillard, Aravis, Colombière, et Cordon-950 soit 5 escalades), le classement était aussi très serré avec 7/8 prétendants.
Mais, ce dernier round montagneux était programmé le jeudi avec ensuite la Faucille en début d'étape le vendredi vers Besancon (242 km), arrivée à Auxerre le samedi (242 km); et le dernier jour 136 km vers Melun avant un chrono final de 55 km ! Quand on sait qu'aujourd'hui l'UCI interdit une demi-étape avec un chrono de 10-15 ...
Et la première victoire neerlandaise sur le Tour au terme d'un final qui reste l'objet de beaucoup de polémiques (dopage, rivalités belges, rivalités françaises, mauvais choix stratégiques des espagnols en supériorité numérique, interférences entre marques et equips nationales, ...).
Ce Tour 1968 n'offrait pas un parcours ni un plateau très "relevé".
Ciao.
Bonsoir AT.
Comme vous et d'autres, je m'interroge sur le lien entre les faibles écarts en montagne et une lutte contre le dopage plus efficace.
J'aurais toutefois des réserves.
Comment expliquer que 75% des coureurs bénéficient de dérogations pour soigner un rhume des foins qui touche environ 25% ?
Quid si les organisateurs redessinent de grosses étapes de haute montagne variées, bien construites (dont une longue) sur un meme Giro/Tour comme sur le Giro de l'an dernier ?
Je ne comprends pas l'attitude de Pinot envers l'étape de Bormio. Le cyclisme doit offrir des étapes d'usure.
Comme vous, j'ai imaginé un final différent avec les memes arrivées.
L'étape d'Oropa (courte) décalée d'une heure pour permettre un transfert au pied du lac de Como-Lecco.
Dimanche, 240-245 km vers Bormio avec le Mortirolo (par Tovo), le Santa Maria (descente sur la Suisse), puis le versant légendaire (48 virages 24,5 km à 7,5% et les 13 derniers à 8,8 !) du Stelvio.
Après le repos, direction Piancavallo (éventuellement précédé de l'Alpago).
Asiago en allégé (montées de 3c/4c de Fontanelle et Turcio).
Le Fedaia en juge supreme vers Canazei (après par exemple le Staulanza).
Seconde grande étape sans vallée, Moena-Ortisei (Costalunga, Obergummer, Sella, Pordoi, Campolongo, et Gardena, descente finale de 19 km-D+4200m).
Enfin, la veille de Milan, le colle del Gallo et le passo di Ganda avant un final identique sur Bergamo.
Dumoulin mérite sa victoire, mais il a tiré profit d'un tracé favorable.
70 km en formule clm. individuel ne sont pas excessifs, quoique j'aurais inversé les distances de deux tests bien positionnés.
Plus encore qu'une carence de cols à forts pourcentages, c'est la quasi absence (Ortisei et encore loin d'etre idéal) d'enchainements de cols sur la fin que je déplore.
Si Nibali et Quintana n'avaient pas attendu l'étape d'Asiago pour collaborer, le verdict aurait-il été différent ?
Vers Piancavallo, associés à Pinot, ils auraient crées des écarts plus importants. Dumoulin, à 1'/1'30" n'aurait pas pu gérer avec une "corde courte" le lendemain.
Pourquoi, après avoir piègé le maillot rose vers Sappada, les leaders n'ont-ils pas apportés des relais aux seuls équipiers avant le sella Chianzutan ?
L'évolution des temps intermédiaires sur le dernier chrono me renforce dans le fait que Dumoulin a terminé assez émoussé, plus que ses rivaux directs.
La performance de Pinot est significative. Il fut supérieur à des coureurs du top 10 du dernier Tour : Mollema, Yates. Il termine devant Zakharin et Pozzovivo ou Kruiswijk. Rien ne permet d'affirmer que Thomas, Scarponi (la vie tient à quoi ...) ou meme Aru l'auraient précédé. Seul Landa peut nourrir des regrets, il ne doit plus perdre de temps aux cotés de Froome.
Le plateau de ce Giro était relevé.
Quid du Tour ?
J'ai difficile faire une évaluation des forces avant Dauphiné, Tour de Suisse, et Route du Sud.
Le seul qui a déjà donné des gages cette année est ... Valverde !
Ciao.
Bonsoir André.
Certes je vous suis sur les AUT mais si les coureurs ont besoin d'AUT c'est qu'il ne se dope pas autrement si ? Et les AUT c'est plutôt un dopage à la marge non ? (Je veux dire ça n'a pas un aussi gros effet sur l'organisme que l'EPO)
Nibali par exemple compte tenu de ses performances n'aurait jamais eu le même palmarès dans les années 90 (il a fait 2'40'' de plus que Riis sur la montée d'Hautacam alors qu'il a écrasé le Tour cette année-là et qu'il a attaqué tôt dans l'ascension). Par contre Froome sur le Ventoux (qui a fait le meilleur temps de l'histoire dans une course en ligne), c'est incroyable...
Il faut pas se voiler la face : quel champion du cyclisme n'a jamais rien pris d'illicite ou été aidé d'une manière ou d'une autre ? Même Maurice Garin a triché (et il a été déclassé sur le Tour 1904...). Donc les AUT c'est malheureusement un moindre mal...
Le parcours que vous proposez tient la route évidemment mais vous "trichez" un peu sur les villes-étapes et votre tracé opère une boucle vers les Dolomites qui rallonge (corrigez-moi si je me trompe) les transferts.
Je suis d'accord avec vous sur les enchaînements de cols. Ça plus l'absence de montées à forts pourcentages ont joué en la faveur de Dumoulin (qui n'a d'ailleurs jamais pu suivre les meilleurs sur les montées les plus raides de ce Giro - Blockhaus et Piancavallo). Son coup d'éclat à Oropa c'est sur une montée roulante et il faut se rappeler qu'il a fini deuxième du chrono de Megève l'année dernière. Je reproche surtout à Nibali de ne pas avoir exploité la descente du Grappa ; je ne suis pas sûr que lui et Quintana ait tant péché que ça par manque de solidarité, je crois plutôt qu'ils ne pouvaient pas faire mieux en montagne (en partie à cause du parcours).
J'ai toujours peur que Pinot ait un blocage qui l'empêche de faire mieux. Il n'a vraiment pas été bon sur les chronos (derrière Quintana vers Milan quand même...). Ses performances en montagne sont tout de même prometteuses, d'autant plus que Contador, Froome et Nibali ont plutôt leur carrière derrière eux.
Quintana, Dumoulin, Aru, Landa, Chaves, Pinot, Bardet, Zakarin (dans l'ordre du "talent" escompté) devraient se partager les GT dans les prochaines années. La fin de carrière de Contador et Nibali, ce sera triste. En revanche, aucuns regrets pour Richie Porte, Geraint Thomas (ah ces pistards-grimpeurs...) et Alejandro Valverde qui m'horripilent au plus haut point. J'ai bizarrement de la sympathie pour Froome avec son air de grand dadais et son style si caractéristique même si je ne vois pas comment il aurait pu effectuer de telles démonstrations (Ax 3 Domaines, Ventoux et Pierre Saint-Martin) sans une quelconque forme d'"aide"...
En espérant que le prochain Tour soit plaisant à suivre (ce qui repose en grande partie sur les épaules du "Pistolero").
PS : j'ai fait un tour - à pied - sur le boulevard André Aune que les coureurs devront gravir le 22 juillet prochain, c'est impressionnant ! Dommage que ce chrono soit si court mais les images seront splendides (c'est un Marseillais qui parle).
Slt a tous,
Concernant le tour d'Italie je trouves qu'il était très bien tracé, 2 chronos, de la montagne un peu de partout, des cols dur et pas mal de cols roulant et ce fut avec ce mélange un très beau tour.
Il faut savoir que si il avait eu 2 chronos de 50 Km il n'y aurait eu aucun suspens, Tom dumoulin aurait écrasé tout le monde ce qui prouve bien que depuis 2 décennies les coureurs et notamment les grimpeurs sont moin fort qu'a l'ancienne et ce n'est pas une question de dopage.
Je voudrais aussi dire que le Ventoux est très difficile mais beaucoup de coureurs le passent et l'ont passé car il ne dépasse pas les 2000 M, comme certains cols difficiles du giro vu cette année donc il n'y a pas beaucoup d'écarts.
Je prends toujours l'exemple de Jalabert qui passez bien le Ventoux et qui finissait loin dans les cols a 2000 M notamment dans les alpes.
95 il perd pas mal de temps dans ce massif, 97 a la rue et 98 le galibier et la madeleine le font sauter.
Il faut préciser qu'il a fait le Giro qu'il a fini 4è en 1999 avec 3 étapes mais dans les grosses ascencions il était absent.
Quintana, Pinot, Nibali, Dumoulin sont très fort mais si tu mets des étapes du style Aprica 94 ou isola 93 plus des étapes difficiles et longues a coté ces coureurs auront beaucoup de mal, d'où aussi le manque d'étapes de légende sur les tours modernes car même si parfois cela bouge il n'y a plus de super champions.
Il suffit aussi de regarder les coureurs qui gagnent en montagne sur les 3 grands tours, ce n'est pas tous des grands.
Depuis quelques années les organisateurs veulent du % et du suspens mais je ne suis pas sur que tout fonctionne correctement.
Bonjour à tous,
Selon RMC Sport, le passage de l'étape ariégeoise de ce Tour 104 par le col d'Agnes serait "compromis" du fait des "orages violents qui se sont abattus sur les Pyrénées en fin de semaine dernière, entraînant des coulées de boues et chutes d'arbres, rendant la route impraticable". En attendant d'en savoir plus, les oragnisateurs réfléchissent déjà à "un plan B", quel pourrait-il être selon vous?? Il me semble qu'ils souhaitent conserver la "rapidité" de l'étape...
On en a parlé sur "le site d'en face", un itinéraire probable serait de remplacer le col d'Agnes par le petit col de Saraillé, nettement moins difficile. Le kilométrage serait quasiment inchangé (autour de 100 km), et le parcours traverse globalement les mêmes villes, mais l'étape baisse fortement en difficulté.
Un autre itinéraire évoqué serait une boucle à partir de Massat : Col de Port, Port de Lers, et Mur de Péguère, pour une distance d'environ 135 km. Mais du coup le tracé change du tout au tout, en virant Latrape et ses forts pourcentages.
Bonjour.
Je propose le parcours suivant :
Une boucle pour aller découvrir le col de Saet (1102m 6,5 km à 8,5% km 18), retour sur Saint-Girons (km 39)
col de la Crouzette, initialement prévu en 2008 (1241m 8 km à 8,58% km 60) descente sur Biert
port de Meguère (1375m 9 km 8,08% km 80
descente et final de 27 km
Total 107 km
Ciao.
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