created by André on Friday 25 May 2012 at 22h00 | viewed 16292 times | 88 messages
André
- on Thursday 21 June 2012 at 21h50
Giro 2013 :
Michele Acquarone, "padrone" du Giro ouvre le dialogue avec les "tifosi" :
6 questions sont posées quant aux souhaits de ces derniers pour le découpage des étapes du prochain Tour d'Italie.
Une pierre de plus dans le jardin des "caciques" d'Amaury Sports, "potentats" du cyclisme aux fumistes initiatives.
Buona notte.
Linkinito
- on Friday 22 June 2012 at 01h41
Qui dit 100ème Tour dit logiquement ascensions mythiques.
Logiquement, on devrait revoir L'Alpe, le Galibier, et le Ventoux dans les Alpes. Gap voudra aussi très certainement d'une étape (accueillir le 100ème Tour est presque une nécessité pour eux !), et je verrais très bien un Gap - Mont Ventoux soit en fin de première semaine, soit en fin de tour.
Deux possibilités : un remake de l'étape d'Eddy Merckx (soit par Saint-Jean et Macuègne comme en 1970, soit par Perty), ou bien un Ventoux précédé de la Montagne de Lure dans une étape plus longue de 40 km.
bapt77
- on Friday 22 June 2012 at 10h03
André
Si j'ai bien compris cela pourrait ouvrir la porte à ce projet et que nous pourrions utiliser en argument (malgré le plus de moyens et diffusion du Tour).
Mais si je comprend que ASO ne sera peut-être pas forcément d'une grande écoute .
Mais mon premier envoi bien que ''innocent'' (au contraîre d'ici) a plutôt été bien accueillit et je remarque que deux ascension ''m'ont'' été repris : Hourquette d'Ancizan , Grand Colombier . J'attend encore le Mont du Chat , le clm au Ventoux ...
Linkinito
- on Friday 13 July 2012 at 12h23
Sinon petite information toute bête et prévisible, mais qui a le mérite d'être confirmée : Jean-Michel Catelinois, maire de Saint-Paul-Trois-Châteaux, a annoncé dans La Tribune que la ville n'accueillerait pas le Tour en 2013. On sait par contre que Montélimar pose sa candidature depuis plusieurs années.
Linkinito
- on Wednesday 18 July 2012 at 19h44
Nouvelles petites infos :
- Les villes de Vitré et Fougères (Ille-et-Vilaine) sont candidates pour accueillir une étape en 2013. Vitré avait déjà accueilli le Tour en 2006. Mais comme les deux villes se situent en Bretagne, sachant que le Tour 2013 part de l'extrême sud-est de la France, ça me paraît tout de même peu envisageable pour 2013. Plus probablement pour 2014 !
- Autun, ville-arrivée en 2007, est aussi candidate pour le Tour 2013. Situé dans le Morvan, ils pourraient très bien être retenus, le Tour n'étant plus passé dans le secteur depuis pas mal de temps. Je pense que le Tour 2013 fera aussi la part belle au Massif Central qui n'a pas été très exploité ces derniers temps et totalement ignoré en 2012 au profit des Vosges et du Jura.
- Saint-Étienne et Saint-Galmier, dans la Loire, sont aussi candidats à l'accueil du Tour (mais l'article date de novembre 2011). En tout cas ils veulent mettre les chances de leur côté pour 2013.
Sur base des dernières rumeurs.
Afin de ne pas "sombrer" dans la monotonie, je propose des étapes un peu différentes dans les Alpes du Nord (où c'est la "bouteille à encre").
sam 29-6 : 1. Porto Vecchio - Bastia : 201 km
dim 30-6 : 2. Bastia - Ajaccio : 153 km
lun 1-7 : 3. Ajaccio - Calvi : 153 km
transfert
mar 2-7 : 4. Nice - Nice (clm. par éq.) : 24 km
mer 3-7 : 5. Cagnes-sur-Mer - Fréjus : 149 km
jeu 4-7 : 6. Aix-en-Provence - Montpellier : 196 km
ven 5-7 : 7. Lodève - Carcassonne : 189 km
km 8 col de la Baraque de Bral (611m)
km 63 col de Fondfroide (970m) 11,8km 6,6%
km 108 col de Caunan (650m)
km 151 pic de Nore (1140m) 11km 6,8%
sam 6-7 : 8. Limoux - Plateau de Beille : 116 km
km 20 col Saint-Benoit (614m)
km 33 col de Babourade (665m)
km 54 col de Montségur (1059m) 6km 6,8%
arrivée Plateau de Beille (1790m) 15,8km 7,9%
dim 7-7 : 9. Saint-Girons - Lourdes : 207 km
km 30 col de Portet d'Aspet (1069m) 6,1km 6,5%
km 51 col des Ares (797m)
km 101 col de Peyresourde (1569m) 12km 6,7%
km 131 col d'Aspin (1489m) 12km 6,5%
km 161 col du Tourmalet (2115m) 17,2km 7,4%
transfert et repos lundi 8 juillet
mar 9-7 : 10. Cancale - Mont Saint-Michel (clm. individuel) : 48 km
mer 10-7 : 11. Rennes - Bressuire : 235 km
jeu 11-7 : 12. Poitiers - Bourges : 191 km
ven 12-7 : 13. Saint-Amand Montrond - Vulcania : 187 km
km 154 col du Cratère (780m) 4,2km 7%
km 181 col des Goules (998m) 11km 6,3%
sam 13-7 : 14. Clermont-Ferrand - Lyon : 212 km
km 52 col de Toutée (997m) 13,6km 4,1%
km 57 col des Fourches (970m)
km 86 col du Beal (1390m) 11km 5,6%
km 155 col dela Croix-Casart (855m)
km 190 col de la Luère (714m) 6km 6,3%
dim 14-7 : 15. Pérouges - Annecy : 212 km
km 89 col du Sapenay (897m) 9,4km 7%
km 131 mont Revard (1418m) 18km 6,2%
km 182 mont Semnoz (1640m) 11,3km 8,2%
repos lundi 15 juillet
mar 16-7 16. Grand Bornand - Chatel-en-Abondance : 141 km
km 54 col de la Ramaz (1609m) 14km 6,9%
km 92 col de Joux-Plane (1700m) 11,1km 8,9%
km 120 col du Corbier (1237m) 6km 8,6%
mer 17-7 : 17. Morzine - Courchevel : 165 km
km 7 col des Gets (1163m)
km 41 cote de Combloux (1060m)
km 79 col des Saisies (1550m) 6,6km 7,4%
arrivée à Courchevel (2004m) 21,7km 6,5%
jeu 18-7 : 18. La Léchère-station thermale - Alpe d'Huez : 166 km
km 28 col dela Madeleine (1993m) 24,5km 6,3%
km 83 col du Télégraphe (1570m) 11,3km 7,3%
km 105 col du Galibier (2646m) 18,1km 6,9%
arrivée Alpe d'Huez (1860m) 13,5km 8,3%
ven 19-7 : 19. Bourg d'Oisans - Gap : 200 km
km 38 col du Lautaret (2058m) 10,1km 5,5%
km 86 col d'Izoard (2361m) 12km 6,9%
km 156 cote de Saint-Apollinaire (1254m) 6,1km 7%
km 177 col de Moissières (1573m) 10,2km 7%
km 189 col de Manse (1248m)
sam 20-7 : 20. Bedoin - Mont Ventoux (clm. individuel) : 22 km
arrivée Mont Ventoux (1912m) 19,7km 7,8%
transfert
dim 210-7 : 21. Paris - Paris : 100 km
bernard
- on Saturday 28 July 2012 at 23h30
Les tours de France allant de 77 a 82 avec une mention très bien pour le premier cité, je vous rejoins pour la montagne.
Tour de France 83 : bon cru .
Il y a l'étape classique des pyrénées et ca sera la seule cette année la, mais cela ne m'embète pas trop concernant ce massif.
Mieux vaut une étape qui donne un interet pour les coureurs et qui laissera une course a rebondissements que 3 étapes bien construites ou il ne passe rien. ex : 2011.
Mais il faut noter que c'est plus prestigieux de gagner a l'alpe d'huez que luchon de nos jours.
Je retiens l'étape de morzine que je trouves assez difficile.
Tour de France 1984 :
bon cru.
costaud dans les alpes.
Je retiens en difficulté La plagne, Morzine et Crans montana qui sans ètre extrème pèse sur les organismes en fin de tour.
Tour de France 1985 :
Bon cru.
Dans la norme, je retiens ce que fait Le grand Bernard Hinault pour finir ce tour.
Tour de France 1986 :
Très bon cru.
l'étape de superbagnères difficile et très belle a la fois et il y a la légende l'alpe d'huez.
L'étape du granon est très dur mais ce que l'on retient de 86 c'est la victoire de Hinault a l'alpe et la fameuse histoire entre les 2.
Tour de France 1987 :
Bon cru mais pas fan.
Pour ma part c'est le tour de l'abus.
Trop d'étapes, trop d'étapes en montagne ou moyenne montagne et une seule étape de légende le chrono au ventoux.
Pau et Luz sont bien tracés mais je retiens la plagne et morzine en terme de difficulté qui sont 2 classiques de 84.( pas de nouveautés ).
Tour de France 1988 :
Moyen.
Retour aux normes :
Je retiens l'alpe et luz en terme de tracés.
Tour de France 1989 :
Exceptionnel.
Je penses que c'est le plus beau tour de l'histoire et je le mets devant 75 a cause du chrono des champs.
En terme de montagne ce n'est peut-ètre pas le plus dur mais il est intense du début a la fin.
Je retiens superbagnères et aix-les bains.
Tour de France 1990 :
Moyen.
Tour jamais plat a partir de geneve.
Je retiens l'alpe et luz.
Tour de France 1991 :
Moyen.
Peu montagneux mais une étape de légende jaca-val-louron.
Tour de France 1992 :
Bon cru.
Peu montagneux mais piègeux.
Je retiens pau avec l'éclosion de virenque, mulhouse pour la dernière de Laurent Fignon et il y a une étape de légende a sestrières.
N'oublions pas que pascal Lino a porté le jaune durant 10 jours.
Tour de France 1993 :
Très moyen.
Montagneux mais peu intérréssant.
Rominger est pénalisé avec le chrono par équipe ce qui enlève tout suspens.
L'étape de isola 2000 est très difficile et les pyrénées sont gatées.
Tour de France 1994 :
Bon cru ( les grimpeurs )
Montagneux mais pas de suspens.
Je retiens les bons coups des francais, leblanc et virenque, l'éclosion après le giro du pirate sur le tour de France.
L'étape de val-thorens est très difficile.
Tour de France 1995 :
Très bon cru.
Je retiens la bonne performance des francais, jalabert et virenque.
Des étapes de montagne assez difficile ( l'alpe d'huez et cauterets avec malheureusement ce tragique accident du coureur italien ).
Tour de France 1996 :
Bon cru.
Les arcs et dans la légende et pourtant elle était moin dure que sestrières ( malheureusement annulé ) et pampelune.
A noter la 3è place de virenque.
Tour de France 1997 :
Excellent cru.
Je retiens 2 étapes difficiles : andorre arcalis et courchevel qui sont dans la légende du tour de France.
Tour animé quasiment tous les jours a partir de loudenvielle.
A noter la 2è place de virenque.
Je finirais la suite plus tard et j'attends votre point de vue sur ce que j'ai pu dire.
André
- on Sunday 29 July 2012 at 01h08
A 00.00 (comme disait l'amiral Chester Nimitz, je ne sais s'il faut souhaiter bonsoir ou bonjour ?
1977 m'a laissé un souvenir "relatif" : l'espace Pyrénées-Alpes, long fut assez monotone et sauvé par une belle dernière semaine avec une supreme étape Chamonix - Alpe d'Huez (suspense, attaques de loin, retournements de situation), et un Bernard Thévenet avec "un coeur gros comme ça" !
1983 Parcours hors norme : seulement 3 étapes en lignes de haute montagne, 2 cronos en cote et beaucoup de moyenne montagne. L'absence d'Hinault avait rendu la course très ouverte. Un tracé à reproduire !
1984 Fignon "uber alles" : supérieur contre la montre, par équipes, en montagne, et quel panache ! Plus aucun vainqueur n'a atteint depuis un niveau pareil (et je ne le trouvais pas sympa .. à l'époque).
1985 Un certain malaise ... Les organisateurs pour équilibrer les chances dans le cadre d'un duel Fignon-Hinault avaient augmentés les cronos en plaine.
Fignon absent, sans la chute de Saint-Etienne le Tour était plié pour le "blaireau". Lemond a toujours affirmé avoir été "roulé" à Luz-Ardiden : mal informé dans le brouillard du Tourmalet, il aurait attendu Hinault distancé non pas de 30" mais 3 minutes ...
Le lendemain, le role ambigu de "chaperon" pour Hinault (limite-rupture) assumé par ... Luis Herrera, n'échappa pas aux spécialistes sur la demi-étape en course de cote de l'Aubisque.
1986 Très grand cru. Quelle étape dans le Pays Basque, quel sens de la course chez le Breton. Un grand souvenir. Dés "pipés" ? Pas dans la descente du Galibier ni dans les cronos ...
1987 Trop dur certe, mais beaucoup de suspense avec une dizaine de candidats à la victoire au pied du Ventoux.
1988 Delgado fut le seul à la hauteur. L'histoire du "probénicide" n'aurait jamais du etre révélée. Honte aux deux Jacques (Goddet et Chancel) à l'origine de cette infame rumeur. Quid si "Perico" avait été français ? Parcours pas très réussi.
1989 Suspense insoutenable, mais un sentiment d'injustice avec le recul car le guidon fut encore plus déterminant que le vélo de Moser au Giro 84. Renault et Guimard n'auraient ni exploité ces possibilités ni émis de justes réserves lors de la validation du vélo au premier crono de Rennes par un commissaire belge ami du directeur sportif de Lemond. Les étapes de montagne, toutes courtes, ne permirent pas la réalisation de grosses différences.
1990 : Chiappucci sans son erreur tactique à Saint-Etienne aurait pu gagner.
Indurain, s'il n'avait été sacrifié pour Delgado aurait pu gagner. Breukink, s'il ne panique pas au moment de sa crevaison au sommet du Tourmalet aurait pu gagner. Victoire du meilleur coureur de la meilleure équipe : Lemond.
1991 : Sauvé par la fabuleuse étape de Val Louron, une des plus belles que j'ai suivi.
1992 : Très spécial mais beaucoup d'exploits : Chiappucci à Sestrières et le crono monstrueux d'Indurain à Luxembourg. Mais aussi la "sortie en beauté" de Fignon à Mulhouse, Chioccioli à Saint-Etienne, et Roche dans le brouillard de LaBourboule, panache, et ... révélation de Virenque, Lino. Très belle étape de plaine, sous la pluie vers Bruxelles (Jalabert, Chiappucci, Lemond).
1993 : Très "athlétique" mais "plombé" par les pertes de temps de Rominger en première semaine.
1994 : Très dur, surtout les Alpes : une génération nouvelle pointe le nez. Confirmation de Pantani (deuxième d'un Giro 94 très relevé et troisième du Tour).
1995 : Indurain irrésistible coup sur coup dans les Ardennes, en crono et dans les Alpes, mais néanmoins sur le "grill" avec les raids des "Once".
1996 : Coups de théatres dans les Alpes (défaillance d'Indurain, cols annulés). Beau final vers Superbesse (quel duel Leblanc-Virenque), pourquoi ne l'emprunte-t-on plus ? J'attends l'explication éventuelle de Didier pour donner mon avis sur Pampelune (beaucoup moins enthousiaste que beaucoup).
1997 : Parcours très dur. Dommage pour Virenque que Pantani (après sa chute au Giro se soit présenté en retard de préparation et ai ensuite joué les étapes). Ullrich était très fort sur un col surtout, mais la fin de Tour démontra que l'Allemand était au point de rupture (vers Fribourg et vers Montbéliard), les deux grimpeurs "associés" pouvaient lui faire "toucher les épaules".
bernard
- on Sunday 29 July 2012 at 17h32
Bonjour andré,
Je reviens sur certains tours.
Pour le tour de france 1984 il est vrai que Laurent Fignon fut très impressionnant.
Pour 1987 je ne sais pas si c'est le parcours le plus difficile de l'histoire mais une seule étape ( le ventoux ) qui reste dans la légende c'est peu au vu du tracé.
Tour de france 1988 : Delgado gardera toujours cette histoire sur le dos.
Concernant 1989 il est vrai que les étapes de montagne étaient courtes mais il y avait de quoi faire dans les pyrénées ( superbagnères ) et dans les alpes ( alpe d'huez ).
Pour 1990 il est vrai que c'était le 1 er ou le 6è de Indurain.
Tour de france 1992 : le tracé fut influencé par le " traité de maastricht " qui nous concernent encore aujourd'hui...
1995 marque la légende Mende surtout sur l'aspect tactique de la ONCE mais ce fut un tour agité du début a la fin.
1994 et 1996 marque un changement générationnel au niveau des coureurs c'est certain.
Super besse avec la fameuse cote avant de st anastaise ont été refaites en 2011 mais la cote ne fut pas repertorié par Prudhomme.
Tour de france 1997 : Ullrich écrase les pyrénées mais je ne pense pas qu'un pantani au top l'aurait fait plié, mais Virenque rate le coche certes a courchevel mais surtout dans les vosges.
Je penses que c'est le meilleur tracé de JML et le plus dur, bien plus dur que les tours de prudhommes.
94,97 et 2000 mème combat en terme de tracés.
Tour de france 1998 : retour aux normes.
Tour difficile, jamais plat.
L'étape la plus hard fut celle des deux-alpes car je penses qu'il voulait nous refaire une courchevel.
Etape qui reste comme le dernier grand exploit du tour,Pantani fait exploser la maillot jaune certes avec des conditions dantesque mais j'attends de revoir ce genre de faits dans les années futur.
Landis a la toussuire en 2006 ce fut pas mal aussi.
Tour de france 1999 :
Fini les étapes a l'ancienne en montagne. Dopage oblige dopage exige.
Le gois fait mal surtout a Zulle qui aurait pu sans ces 6 Minutes gagner ce tour.
Je retiens Piau engaly et la légère défaillance de L.A sur le duo Virenque - Zulle.
Tour de france 2000 :
Toutes les étapes de montagnes sont belles quasiment, L.A ne domine pas les alpes, et il aura sa fringale dans joux-plane, un grand moment du tour.
Tour difficile mais peu montagneux les grands cols cachent la foret mais il est bien tracé.
Tour de france 2001 :
Il est difficile et l'étape du plat d'adet est très costaud, mais L.A est tout seul, donc aucun suspens.
L'alpe d'huez, le chrono a Chamrousse et les pyrénées sont loin d'ètre simple.
Tour de france 2002 :
Difficile mais seul le ventoux reste.
Le problème de ce tour est que JML n'a pas retenu la lecon de 2001 en mettant autant d'arrivées au sommet.
j'aime bien le tracé de aime-cluses.
C'est dommage que cette étape n'est pas été faite quelques années auparavant.
Tour de france 2003 :
Très bon cru car L.A n'est pas au niveau et le manque de tactique de l'allemand joue en sa faveur sinon il ne doit jamais gagner ce tour.
Les pyrénées sont assez difficiles et il y a un retour dans le pays basque.
meilleur tour de france depuis 97.
Tour de france 2004 :
Peu montagneux mais JML a essayé une nouvelle méthode pour contrer L.A mais quand on voit le niveau des concurrents et leurs sens tactique il n'en reste que du dépit.
le chrono a l'alpe d'huez fut une très bonne idée.
Tour de france 2005 :
Tracé difficile avec tous les massifs intermédiaire sauf le jura.
Un tour différent du classique mais qui met encore a l'oeuvre L.A.
De 2002 a 2005 pas de nouveautés en arrivées au sommet ce qui laisse une petite déception.
Malgré le port de pailhères,ce dernier arrive un peu tard sur le tour.
99 / 00 bon cru.
2004 virenque sauve les apparences mais cela reste moyen.
2001/2002 et 2005 très moyen.
2003 exceptionnel.
Pour ma part depuis 90 : je mets 97,95,2003,96 et 92 comme meilleurs tours.
Je finirais le reste plus tard.
André
- on Wednesday 01 August 2012 at 19h46
Bonjour Bernard.
Désolé de réagir tardivement.
1987 : Outre le Ventoux, j'ai le souvenir de quelques belles batailles : Pau (quel raid JF Bernard !), Villard de Lans, l'Alpe). Combien d'étapes de légende en 2007, 2008, 2009, 2010 et 2012 ?
1997 : Si Pantani avait abordé ce Tour au top, il aurait attaqué différemment, éventuellement de loin, ce qui aurait fait le jeu de Virenque en obligeant l'Allemand à fournir des efforts plus tot dans les étapes.
Ullrich a affiché des flaiblesses en dernière semaine, et dans les Vosges il a décroché à chaque accélération. Malheureusement, l'équipe de Pantani (en tete du classement par équipes) ne comptait que deux coureurs dans l'échappée du Ballon d'Alsace. La différence au final fut cependant nette.
L'ère Armstrong : ce dernier a eu le mérite de remporter des Tours assez variés, contrairement à Indurain (sauf 1992).
D'accord avec vous pour 2003 : Ullrich a raté le coche ... , force est de reconnaitre qu'Armstrong avait plus de "caractère", de détermination.
Le Tour le plus dur de l'ère JM Leblanc ?
J'hésite en 94, 95 et 97.
1997 fut le plus "lourd", mais trois étapes de montagne étaient mal construites.
1994 est quasiment aussi relevé en montagne, mais les étapes furent mieux construites. La première partie était dure avec deux étapes piègeuses vers Boulogne et Brighton et des étapes interminables de Cherbourg à Trélissac.
Approche un peu tardive de la montagne, mais dernières grosses difficultés plus proches de Paris.
1995 fut inférieur au niveau de la haute montagne (malgré 4 belles étapes).
Mais il compensa avec une très belle transition entre les deux grands massifs, et une première semaine très réussie avec ce départ de Bretagne et la légendaire étape dans les Ardennes. Le Tour le plus "complet" de 1989 à 2006.
Salutations.
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Giro 2013 :
Michele Acquarone, "padrone" du Giro ouvre le dialogue avec les "tifosi" :
6 questions sont posées quant aux souhaits de ces derniers pour le découpage des étapes du prochain Tour d'Italie.
Une pierre de plus dans le jardin des "caciques" d'Amaury Sports, "potentats" du cyclisme aux fumistes initiatives.
Buona notte.
Qui dit 100ème Tour dit logiquement ascensions mythiques.
Logiquement, on devrait revoir L'Alpe, le Galibier, et le Ventoux dans les Alpes. Gap voudra aussi très certainement d'une étape (accueillir le 100ème Tour est presque une nécessité pour eux !), et je verrais très bien un Gap - Mont Ventoux soit en fin de première semaine, soit en fin de tour.
Deux possibilités : un remake de l'étape d'Eddy Merckx (soit par Saint-Jean et Macuègne comme en 1970, soit par Perty), ou bien un Ventoux précédé de la Montagne de Lure dans une étape plus longue de 40 km.
André
Si j'ai bien compris cela pourrait ouvrir la porte à ce projet et que nous pourrions utiliser en argument (malgré le plus de moyens et diffusion du Tour).
Mais si je comprend que ASO ne sera peut-être pas forcément d'une grande écoute .
Mais mon premier envoi bien que ''innocent'' (au contraîre d'ici) a plutôt été bien accueillit et je remarque que deux ascension ''m'ont'' été repris : Hourquette d'Ancizan , Grand Colombier . J'attend encore le Mont du Chat , le clm au Ventoux ...
Sinon petite information toute bête et prévisible, mais qui a le mérite d'être confirmée : Jean-Michel Catelinois, maire de Saint-Paul-Trois-Châteaux, a annoncé dans La Tribune que la ville n'accueillerait pas le Tour en 2013. On sait par contre que Montélimar pose sa candidature depuis plusieurs années.
Nouvelles petites infos :
- Les villes de Vitré et Fougères (Ille-et-Vilaine) sont candidates pour accueillir une étape en 2013. Vitré avait déjà accueilli le Tour en 2006. Mais comme les deux villes se situent en Bretagne, sachant que le Tour 2013 part de l'extrême sud-est de la France, ça me paraît tout de même peu envisageable pour 2013. Plus probablement pour 2014 !
http://www.lejournaldevitre.fr/3623/le-tour-de-france-a-vitre-en-2013/
- Autun, ville-arrivée en 2007, est aussi candidate pour le Tour 2013. Situé dans le Morvan, ils pourraient très bien être retenus, le Tour n'étant plus passé dans le secteur depuis pas mal de temps. Je pense que le Tour 2013 fera aussi la part belle au Massif Central qui n'a pas été très exploité ces derniers temps et totalement ignoré en 2012 au profit des Vosges et du Jura.
http://labourgognereveleedarnaud.over-blog.com/article-la-ville-d-autun-candidate-pour-le-tour-de-france-2013-107988491.html
- Saint-Étienne et Saint-Galmier, dans la Loire, sont aussi candidats à l'accueil du Tour (mais l'article date de novembre 2011). En tout cas ils veulent mettre les chances de leur côté pour 2013.
http://www.leprogres.fr/loire/2011/10/19/saint-etienne-et-saint-galmier-attendent-leur-tour-pour-2013
- Annecy, Morzine et Le Grand-Bornand sont candidates, mais cela ne sera un secret pour personne.
http://www.cyclismactu.net/news-tdf-2013-trois-villes-hautes-savoyardes-candidates-25196.html
Bonjour.
Sur base des dernières rumeurs.
Afin de ne pas "sombrer" dans la monotonie, je propose des étapes un peu différentes dans les Alpes du Nord (où c'est la "bouteille à encre").
sam 29-6 : 1. Porto Vecchio - Bastia : 201 km
dim 30-6 : 2. Bastia - Ajaccio : 153 km
lun 1-7 : 3. Ajaccio - Calvi : 153 km
transfert
mar 2-7 : 4. Nice - Nice (clm. par éq.) : 24 km
mer 3-7 : 5. Cagnes-sur-Mer - Fréjus : 149 km
jeu 4-7 : 6. Aix-en-Provence - Montpellier : 196 km
ven 5-7 : 7. Lodève - Carcassonne : 189 km
km 8 col de la Baraque de Bral (611m)
km 63 col de Fondfroide (970m) 11,8km 6,6%
km 108 col de Caunan (650m)
km 151 pic de Nore (1140m) 11km 6,8%
sam 6-7 : 8. Limoux - Plateau de Beille : 116 km
km 20 col Saint-Benoit (614m)
km 33 col de Babourade (665m)
km 54 col de Montségur (1059m) 6km 6,8%
arrivée Plateau de Beille (1790m) 15,8km 7,9%
dim 7-7 : 9. Saint-Girons - Lourdes : 207 km
km 30 col de Portet d'Aspet (1069m) 6,1km 6,5%
km 51 col des Ares (797m)
km 101 col de Peyresourde (1569m) 12km 6,7%
km 131 col d'Aspin (1489m) 12km 6,5%
km 161 col du Tourmalet (2115m) 17,2km 7,4%
transfert et repos lundi 8 juillet
mar 9-7 : 10. Cancale - Mont Saint-Michel (clm. individuel) : 48 km
mer 10-7 : 11. Rennes - Bressuire : 235 km
jeu 11-7 : 12. Poitiers - Bourges : 191 km
ven 12-7 : 13. Saint-Amand Montrond - Vulcania : 187 km
km 154 col du Cratère (780m) 4,2km 7%
km 181 col des Goules (998m) 11km 6,3%
sam 13-7 : 14. Clermont-Ferrand - Lyon : 212 km
km 52 col de Toutée (997m) 13,6km 4,1%
km 57 col des Fourches (970m)
km 86 col du Beal (1390m) 11km 5,6%
km 155 col dela Croix-Casart (855m)
km 190 col de la Luère (714m) 6km 6,3%
dim 14-7 : 15. Pérouges - Annecy : 212 km
km 89 col du Sapenay (897m) 9,4km 7%
km 131 mont Revard (1418m) 18km 6,2%
km 182 mont Semnoz (1640m) 11,3km 8,2%
repos lundi 15 juillet
mar 16-7 16. Grand Bornand - Chatel-en-Abondance : 141 km
km 54 col de la Ramaz (1609m) 14km 6,9%
km 92 col de Joux-Plane (1700m) 11,1km 8,9%
km 120 col du Corbier (1237m) 6km 8,6%
mer 17-7 : 17. Morzine - Courchevel : 165 km
km 7 col des Gets (1163m)
km 41 cote de Combloux (1060m)
km 79 col des Saisies (1550m) 6,6km 7,4%
arrivée à Courchevel (2004m) 21,7km 6,5%
jeu 18-7 : 18. La Léchère-station thermale - Alpe d'Huez : 166 km
km 28 col dela Madeleine (1993m) 24,5km 6,3%
km 83 col du Télégraphe (1570m) 11,3km 7,3%
km 105 col du Galibier (2646m) 18,1km 6,9%
arrivée Alpe d'Huez (1860m) 13,5km 8,3%
ven 19-7 : 19. Bourg d'Oisans - Gap : 200 km
km 38 col du Lautaret (2058m) 10,1km 5,5%
km 86 col d'Izoard (2361m) 12km 6,9%
km 156 cote de Saint-Apollinaire (1254m) 6,1km 7%
km 177 col de Moissières (1573m) 10,2km 7%
km 189 col de Manse (1248m)
sam 20-7 : 20. Bedoin - Mont Ventoux (clm. individuel) : 22 km
arrivée Mont Ventoux (1912m) 19,7km 7,8%
transfert
dim 210-7 : 21. Paris - Paris : 100 km
Les tours de France allant de 77 a 82 avec une mention très bien pour le premier cité, je vous rejoins pour la montagne.
Tour de France 83 : bon cru .
Il y a l'étape classique des pyrénées et ca sera la seule cette année la, mais cela ne m'embète pas trop concernant ce massif.
Mieux vaut une étape qui donne un interet pour les coureurs et qui laissera une course a rebondissements que 3 étapes bien construites ou il ne passe rien. ex : 2011.
Mais il faut noter que c'est plus prestigieux de gagner a l'alpe d'huez que luchon de nos jours.
Je retiens l'étape de morzine que je trouves assez difficile.
Tour de France 1984 :
bon cru.
costaud dans les alpes.
Je retiens en difficulté La plagne, Morzine et Crans montana qui sans ètre extrème pèse sur les organismes en fin de tour.
Tour de France 1985 :
Bon cru.
Dans la norme, je retiens ce que fait Le grand Bernard Hinault pour finir ce tour.
Tour de France 1986 :
Très bon cru.
l'étape de superbagnères difficile et très belle a la fois et il y a la légende l'alpe d'huez.
L'étape du granon est très dur mais ce que l'on retient de 86 c'est la victoire de Hinault a l'alpe et la fameuse histoire entre les 2.
Tour de France 1987 :
Bon cru mais pas fan.
Pour ma part c'est le tour de l'abus.
Trop d'étapes, trop d'étapes en montagne ou moyenne montagne et une seule étape de légende le chrono au ventoux.
Pau et Luz sont bien tracés mais je retiens la plagne et morzine en terme de difficulté qui sont 2 classiques de 84.( pas de nouveautés ).
Tour de France 1988 :
Moyen.
Retour aux normes :
Je retiens l'alpe et luz en terme de tracés.
Tour de France 1989 :
Exceptionnel.
Je penses que c'est le plus beau tour de l'histoire et je le mets devant 75 a cause du chrono des champs.
En terme de montagne ce n'est peut-ètre pas le plus dur mais il est intense du début a la fin.
Je retiens superbagnères et aix-les bains.
Tour de France 1990 :
Moyen.
Tour jamais plat a partir de geneve.
Je retiens l'alpe et luz.
Tour de France 1991 :
Moyen.
Peu montagneux mais une étape de légende jaca-val-louron.
Tour de France 1992 :
Bon cru.
Peu montagneux mais piègeux.
Je retiens pau avec l'éclosion de virenque, mulhouse pour la dernière de Laurent Fignon et il y a une étape de légende a sestrières.
N'oublions pas que pascal Lino a porté le jaune durant 10 jours.
Tour de France 1993 :
Très moyen.
Montagneux mais peu intérréssant.
Rominger est pénalisé avec le chrono par équipe ce qui enlève tout suspens.
L'étape de isola 2000 est très difficile et les pyrénées sont gatées.
Tour de France 1994 :
Bon cru ( les grimpeurs )
Montagneux mais pas de suspens.
Je retiens les bons coups des francais, leblanc et virenque, l'éclosion après le giro du pirate sur le tour de France.
L'étape de val-thorens est très difficile.
Tour de France 1995 :
Très bon cru.
Je retiens la bonne performance des francais, jalabert et virenque.
Des étapes de montagne assez difficile ( l'alpe d'huez et cauterets avec malheureusement ce tragique accident du coureur italien ).
Tour de France 1996 :
Bon cru.
Les arcs et dans la légende et pourtant elle était moin dure que sestrières ( malheureusement annulé ) et pampelune.
A noter la 3è place de virenque.
Tour de France 1997 :
Excellent cru.
Je retiens 2 étapes difficiles : andorre arcalis et courchevel qui sont dans la légende du tour de France.
Tour animé quasiment tous les jours a partir de loudenvielle.
A noter la 2è place de virenque.
Je finirais la suite plus tard et j'attends votre point de vue sur ce que j'ai pu dire.
A 00.00 (comme disait l'amiral Chester Nimitz, je ne sais s'il faut souhaiter bonsoir ou bonjour ?
1977 m'a laissé un souvenir "relatif" : l'espace Pyrénées-Alpes, long fut assez monotone et sauvé par une belle dernière semaine avec une supreme étape Chamonix - Alpe d'Huez (suspense, attaques de loin, retournements de situation), et un Bernard Thévenet avec "un coeur gros comme ça" !
1983 Parcours hors norme : seulement 3 étapes en lignes de haute montagne, 2 cronos en cote et beaucoup de moyenne montagne. L'absence d'Hinault avait rendu la course très ouverte. Un tracé à reproduire !
1984 Fignon "uber alles" : supérieur contre la montre, par équipes, en montagne, et quel panache ! Plus aucun vainqueur n'a atteint depuis un niveau pareil (et je ne le trouvais pas sympa .. à l'époque).
1985 Un certain malaise ... Les organisateurs pour équilibrer les chances dans le cadre d'un duel Fignon-Hinault avaient augmentés les cronos en plaine.
Fignon absent, sans la chute de Saint-Etienne le Tour était plié pour le "blaireau". Lemond a toujours affirmé avoir été "roulé" à Luz-Ardiden : mal informé dans le brouillard du Tourmalet, il aurait attendu Hinault distancé non pas de 30" mais 3 minutes ...
Le lendemain, le role ambigu de "chaperon" pour Hinault (limite-rupture) assumé par ... Luis Herrera, n'échappa pas aux spécialistes sur la demi-étape en course de cote de l'Aubisque.
1986 Très grand cru. Quelle étape dans le Pays Basque, quel sens de la course chez le Breton. Un grand souvenir. Dés "pipés" ? Pas dans la descente du Galibier ni dans les cronos ...
1987 Trop dur certe, mais beaucoup de suspense avec une dizaine de candidats à la victoire au pied du Ventoux.
1988 Delgado fut le seul à la hauteur. L'histoire du "probénicide" n'aurait jamais du etre révélée. Honte aux deux Jacques (Goddet et Chancel) à l'origine de cette infame rumeur. Quid si "Perico" avait été français ? Parcours pas très réussi.
1989 Suspense insoutenable, mais un sentiment d'injustice avec le recul car le guidon fut encore plus déterminant que le vélo de Moser au Giro 84. Renault et Guimard n'auraient ni exploité ces possibilités ni émis de justes réserves lors de la validation du vélo au premier crono de Rennes par un commissaire belge ami du directeur sportif de Lemond. Les étapes de montagne, toutes courtes, ne permirent pas la réalisation de grosses différences.
1990 : Chiappucci sans son erreur tactique à Saint-Etienne aurait pu gagner.
Indurain, s'il n'avait été sacrifié pour Delgado aurait pu gagner. Breukink, s'il ne panique pas au moment de sa crevaison au sommet du Tourmalet aurait pu gagner. Victoire du meilleur coureur de la meilleure équipe : Lemond.
1991 : Sauvé par la fabuleuse étape de Val Louron, une des plus belles que j'ai suivi.
1992 : Très spécial mais beaucoup d'exploits : Chiappucci à Sestrières et le crono monstrueux d'Indurain à Luxembourg. Mais aussi la "sortie en beauté" de Fignon à Mulhouse, Chioccioli à Saint-Etienne, et Roche dans le brouillard de LaBourboule, panache, et ... révélation de Virenque, Lino. Très belle étape de plaine, sous la pluie vers Bruxelles (Jalabert, Chiappucci, Lemond).
1993 : Très "athlétique" mais "plombé" par les pertes de temps de Rominger en première semaine.
1994 : Très dur, surtout les Alpes : une génération nouvelle pointe le nez. Confirmation de Pantani (deuxième d'un Giro 94 très relevé et troisième du Tour).
1995 : Indurain irrésistible coup sur coup dans les Ardennes, en crono et dans les Alpes, mais néanmoins sur le "grill" avec les raids des "Once".
1996 : Coups de théatres dans les Alpes (défaillance d'Indurain, cols annulés). Beau final vers Superbesse (quel duel Leblanc-Virenque), pourquoi ne l'emprunte-t-on plus ? J'attends l'explication éventuelle de Didier pour donner mon avis sur Pampelune (beaucoup moins enthousiaste que beaucoup).
1997 : Parcours très dur. Dommage pour Virenque que Pantani (après sa chute au Giro se soit présenté en retard de préparation et ai ensuite joué les étapes). Ullrich était très fort sur un col surtout, mais la fin de Tour démontra que l'Allemand était au point de rupture (vers Fribourg et vers Montbéliard), les deux grimpeurs "associés" pouvaient lui faire "toucher les épaules".
Bonjour andré,
Je reviens sur certains tours.
Pour le tour de france 1984 il est vrai que Laurent Fignon fut très impressionnant.
Pour 1987 je ne sais pas si c'est le parcours le plus difficile de l'histoire mais une seule étape ( le ventoux ) qui reste dans la légende c'est peu au vu du tracé.
Tour de france 1988 : Delgado gardera toujours cette histoire sur le dos.
Concernant 1989 il est vrai que les étapes de montagne étaient courtes mais il y avait de quoi faire dans les pyrénées ( superbagnères ) et dans les alpes ( alpe d'huez ).
Pour 1990 il est vrai que c'était le 1 er ou le 6è de Indurain.
Tour de france 1992 : le tracé fut influencé par le " traité de maastricht " qui nous concernent encore aujourd'hui...
1995 marque la légende Mende surtout sur l'aspect tactique de la ONCE mais ce fut un tour agité du début a la fin.
1994 et 1996 marque un changement générationnel au niveau des coureurs c'est certain.
Super besse avec la fameuse cote avant de st anastaise ont été refaites en 2011 mais la cote ne fut pas repertorié par Prudhomme.
Tour de france 1997 : Ullrich écrase les pyrénées mais je ne pense pas qu'un pantani au top l'aurait fait plié, mais Virenque rate le coche certes a courchevel mais surtout dans les vosges.
Je penses que c'est le meilleur tracé de JML et le plus dur, bien plus dur que les tours de prudhommes.
94,97 et 2000 mème combat en terme de tracés.
Tour de france 1998 : retour aux normes.
Tour difficile, jamais plat.
L'étape la plus hard fut celle des deux-alpes car je penses qu'il voulait nous refaire une courchevel.
Etape qui reste comme le dernier grand exploit du tour,Pantani fait exploser la maillot jaune certes avec des conditions dantesque mais j'attends de revoir ce genre de faits dans les années futur.
Landis a la toussuire en 2006 ce fut pas mal aussi.
Tour de france 1999 :
Fini les étapes a l'ancienne en montagne. Dopage oblige dopage exige.
Le gois fait mal surtout a Zulle qui aurait pu sans ces 6 Minutes gagner ce tour.
Je retiens Piau engaly et la légère défaillance de L.A sur le duo Virenque - Zulle.
Tour de france 2000 :
Toutes les étapes de montagnes sont belles quasiment, L.A ne domine pas les alpes, et il aura sa fringale dans joux-plane, un grand moment du tour.
Tour difficile mais peu montagneux les grands cols cachent la foret mais il est bien tracé.
Tour de france 2001 :
Il est difficile et l'étape du plat d'adet est très costaud, mais L.A est tout seul, donc aucun suspens.
L'alpe d'huez, le chrono a Chamrousse et les pyrénées sont loin d'ètre simple.
Tour de france 2002 :
Difficile mais seul le ventoux reste.
Le problème de ce tour est que JML n'a pas retenu la lecon de 2001 en mettant autant d'arrivées au sommet.
j'aime bien le tracé de aime-cluses.
C'est dommage que cette étape n'est pas été faite quelques années auparavant.
Tour de france 2003 :
Très bon cru car L.A n'est pas au niveau et le manque de tactique de l'allemand joue en sa faveur sinon il ne doit jamais gagner ce tour.
Les pyrénées sont assez difficiles et il y a un retour dans le pays basque.
meilleur tour de france depuis 97.
Tour de france 2004 :
Peu montagneux mais JML a essayé une nouvelle méthode pour contrer L.A mais quand on voit le niveau des concurrents et leurs sens tactique il n'en reste que du dépit.
le chrono a l'alpe d'huez fut une très bonne idée.
Tour de france 2005 :
Tracé difficile avec tous les massifs intermédiaire sauf le jura.
Un tour différent du classique mais qui met encore a l'oeuvre L.A.
De 2002 a 2005 pas de nouveautés en arrivées au sommet ce qui laisse une petite déception.
Malgré le port de pailhères,ce dernier arrive un peu tard sur le tour.
99 / 00 bon cru.
2004 virenque sauve les apparences mais cela reste moyen.
2001/2002 et 2005 très moyen.
2003 exceptionnel.
Pour ma part depuis 90 : je mets 97,95,2003,96 et 92 comme meilleurs tours.
Je finirais le reste plus tard.
Bonjour Bernard.
Désolé de réagir tardivement.
1987 : Outre le Ventoux, j'ai le souvenir de quelques belles batailles : Pau (quel raid JF Bernard !), Villard de Lans, l'Alpe). Combien d'étapes de légende en 2007, 2008, 2009, 2010 et 2012 ?
1997 : Si Pantani avait abordé ce Tour au top, il aurait attaqué différemment, éventuellement de loin, ce qui aurait fait le jeu de Virenque en obligeant l'Allemand à fournir des efforts plus tot dans les étapes.
Ullrich a affiché des flaiblesses en dernière semaine, et dans les Vosges il a décroché à chaque accélération. Malheureusement, l'équipe de Pantani (en tete du classement par équipes) ne comptait que deux coureurs dans l'échappée du Ballon d'Alsace. La différence au final fut cependant nette.
L'ère Armstrong : ce dernier a eu le mérite de remporter des Tours assez variés, contrairement à Indurain (sauf 1992).
D'accord avec vous pour 2003 : Ullrich a raté le coche ... , force est de reconnaitre qu'Armstrong avait plus de "caractère", de détermination.
Le Tour le plus dur de l'ère JM Leblanc ?
J'hésite en 94, 95 et 97.
1997 fut le plus "lourd", mais trois étapes de montagne étaient mal construites.
1994 est quasiment aussi relevé en montagne, mais les étapes furent mieux construites. La première partie était dure avec deux étapes piègeuses vers Boulogne et Brighton et des étapes interminables de Cherbourg à Trélissac.
Approche un peu tardive de la montagne, mais dernières grosses difficultés plus proches de Paris.
1995 fut inférieur au niveau de la haute montagne (malgré 4 belles étapes).
Mais il compensa avec une très belle transition entre les deux grands massifs, et une première semaine très réussie avec ce départ de Bretagne et la légendaire étape dans les Ardennes. Le Tour le plus "complet" de 1989 à 2006.
Salutations.
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