It's your Tour: Tour de France de Namur à Paris
Un départ de Belgique, la montagne commence avec le Vosges. Un crochet par le massif central avant les Aples puis les Pyrénées comme ultime massif.
Un départ de Belgique, la montagne commence avec le Vosges. Un crochet par le massif central avant les Aples puis les Pyrénées comme ultime massif.
Détails des étapes
1) Namur – Namur 177km étape de plaine D+ : 1615m
- côte du Bois de Haute Marlagne : km39 ; 3.4km à 3.% ; cat4
- côte d'Yvoir : km71 ; 3.8km à 4.5% (1.8km à 5.3%, 2.2km à 3.2%) ; cat4
- Citadelle de Namur : km173.5 ; 2.1km à 4.5% ; cat4
Une étape de plaine en ouverture de ce tour. Malgré les quelques côtes, le premier maillot jaune devrait être un sprinteur à moins qu'un homme fort ne se dégage dans la dernière difficulté.
2) Namur – Liège 212km étape vallonnée D+ : 3505m
- Mur de Huy : km33.5 ; 1.4km à 9.1% ; cat3
- côte de Manhay : km87 ; 4km à 4.3% ; cat4
- côte de Trois Ponts : km113.5 ; 4.8km à 4.5% ; cat4
- côte de Stockeu : km121.5 ; 2.6km à 8.6% ; cat3
- côte d'Amermont : km130.5 ; 2km à 7% ; cat3
- côte du Rosier : km150 ; 3.2km à 5.2% ; cat4
- côte du Vieux Pré : km164.5 ; 2.6km à 5.2% ; cat4
- côte de la Redoute : km176 ; 2km à 8.9% ; cat3
- côte de la Roche aux Faucons : km191 ; 1.5km à 9.3% ; cat3
- côte de St Nicolas : km206 ; 1.2km à 8.6% ; cat3
Un mini Liège-Bastogne-Liège au programme avec 10 côtes répertoriées qui pourraient lancer la bagarre entre les favoris.
3) Spa – Sedan 218.5km étape de plaine D+ : 2478m
- côte de Francorchamps : km5.8 ; 5.8km à 5.4% ; cat3
- côte de Monthermé : km184.5 ; 4.2km à 5.2% ; cat3
Le retour en France se fait par une étape de plaine qui devrait permettre aux sprinteurs de lever les bras.
4) Longuyon – Saverne 208km étape de plaine D+ : 1832m
- col de Saverne : km200 ; 4.6km à 4% ; cat4
Une étape qui offre une côte de cat4 proche de l'arrivée : rien d'insurmontable à priori mais un homme fort pourrait se dégager du peloton avant de résister jusqu'au bout…
A noter que la descente du col de Saverne est plutôt technique sur le haut et que la dernière ligne droite fait plus de 1.5km.
5) Sarrebourg – Remiremont 159km étape vallonnée D+ : 1944m
- col du Haut Jacques : km78 ; 4.2km à 5.9% ; cat3
- côte de Lepange : km139.5 ; 4.2km à 7.6% ; cat2
- côte de la Croisette : km154 ; 5.2km à 5.8% (pied : 3km à 7.5%) ; cat3
Une étape courte avec un final explosif autour de Remiremont qui devrait permettre aux puncheurs de s'exprimer. Les favoris devraient rester tranquilles à la veille de la première étape de montagne.
6) Gérardmer – Schauinsland 196km étape de montagne D+ : 3534m
- col de la Schlucht : km14.5 ; 8.5km à 4.5% ; cat2
- Kandel Pass : km121.5 ; 11km à 8.2% ; cat1
- côte de Notschrei (Schauinsland) : km157.5 ; 7.6km à 7.1% ; cat1
- Weidner-Eck : km180 ; 10.1km à 4.2% ; cat2
- Schauinsland : km196 ; 7.2km à 8.3% (pied : 3.4km à 10.8%) ; cat1
Première arrivée au sommet qui permettra aux grimpeurs de se mettre en évidence dans les gros pourcentages de la dernière ascension.
7) Belfort – Dijon 18.5km étape de plaine D+ : 946m
Une étape toute plate qui sacrera un sprinteur.
8) Beaune – Moulins 184.5km étape de plaine D+ : 1357m
- côte de St Romain : km13.5 ; 7.2km à 3.7% (2km à 5.7%) ; cat4
Nouvelle étape de plaine sans aucune difficulté.
9) Moulins – col des Gloules-Vulcania 176km étape de moyenne montagne D+ : 3132m
- côte de la Brosse : km70.5 ; 6.8km à 4.2% ; cat4
- côte de St Pardoux : km92 ; 3km à 5.2% ; cat4
- côte de Gourlanges : km104.5 ; 4.4km à 5.8% ; cat3
- col de la Nugère : km144 ; 4.2km à 6% ; cat3
- côte de Chanat : km150 ; 2.2km à 5.5% ; cat4
- côte du Chevalard : km162 ; 1.8km à 9% ; cat3
- col des Goules-Vulcania : km176 ; 10.4km à 6.1% ; cat1
Une étape difficile, qui pourra mettra en évidence les grimpeurs. Ceux-ci devront reprendre du temps aux rouleurs avant le premier contre-la-montre.
Cependant la montée finale s'effectue sur une route large et roulante donc peu propice à faire de gros écarts.
REPOS 1
10) Le Mont-Dore – St Nectaire 45km ITT de moyenne montagne D+ : 1449m
- col de la Croix St Robert : km6.2 ; 6.2km à 6.2% ; cat2
- côte de Treizanches : km30 ; 3.4km à 6.3% ; cat3
Un premier ITT très difficile avec deux ascensions au programme. Les écarts devraient être très important et fixer une hiérarchie claire parmi les favoris.
11) Issoire – St Etienne 156km étape de plaine D+ : 2274m
- côte de Chauvaye : km13 ; 2km à 6.6%
- côte de la Citre : km103 ; 3.6km à 4.3% ; cat4
Une étape de plaine courte qui précède l'entrée dans les Alpes… Le contexte peut être favorable à une échappée sur une étape avec un certain relief mine de rien…
12) St Etienne – Les 2 Alpes 235km étape de montagne D+ : 3928m
- col de la Croix Montvieux : km24 ; 8km à 4.1% ; cat3
- Alpe d'Huez : km203 ; 12.3km à 8.4% ; catHC
- col de Sarenne : km212 ; 3km à 7.8% ; cat3
- les 2 Alpes : km234 ; 8.5km à 7.1% ; cat1
La première grande étape de montagne. Très longue elle sera particulièrement dure dans les 40 derniers km ou les montées et les descentes se succéderont sans répit : de quoi faire des écarts importants et revenir dans la course pour des grimpeurs distancés au général !
13) Briançon – Superdévoluy 140.5km étape de montagne D+ : 2979m
- col des Moissières : km86 ; 9.2km à 7.6% ; cat1
- Chaillol 1600 : km108.5 ; 8.3km à 5.7% ; cat2
- col du Noyer : km130 ; 7.5km à 8.1% ; cat1
- Superdévoluy : km140.5 ; 3km à 6.2% ; cat3
Une étape courte donc animé avec un final compliqué où la encore les difficultés s'enchaînent. Les forts pourcentages du Noyer feront certainement la sélection pour la victoire d'étape et le général.
14) Jausiers – Monaco 214.5km étape de montagne D+ : 4940m
- Cime de la Bonette Restefond : km24 ; 24km à 6.7% ; catHC
- col de St Martin : km97 ; 17km à 6.2% ; cat1
- col de Turini : km133 ; 15.3km à 7.2% ; catHC
- col de Castillon : km164.5 ; 7.2km à 4.7% ; cat3
- col de la Madone : km195 ; 14.2km à 6.4% ; cat1
Une longue étape où il faudra être fort dès l'entame. L'étape est longue, avec beaucoup de cols, fera surement beaucoup de dégâts parmi les tous meilleur : il ne faudra pas connaître de jour sans !
15) Cannes – Marseille 219km étape de plaine
- côte de Théoule-sur-Mer : km12.5 ; 1.2km à 5.1% ; cat4
- col de la Gineste : km206.5 ; 7.4km à 3.1% ; cat4
Une étape de transition avant la deuxième journée de repos et les Pyrénées qui se profilent…
REPOS 2
16) Rivesaltes – Port de Cabus 197.5km étape de montagne D+ : 5563m
- Port de Palhières : km93 ; 15.5km à 7.9% ; catHC
- Port Envalira : km147 ; 34km à 4.9% ; cat1
- Port de Cabus : km197.5 ; 21.6km à 6% (10.5km à 7.3%) ; catHC
Une étape avec un fort dénivelé. Les cols seront long, hauts et devrait permettre un gros écrémage avant la dernière ascension.
17) Andorre – St Gaudens 192km étape de plaine D+ : 2246m
- Port Envalira : km27.5 ; 27.5km à 5% ; cat1
- col de Bouich : km109.5 ; 6.5km à 3.5% ; cat4
Une étape atypique qui devrait offrir un match serré entre les échappés partis dans l'Envalia et les sprinteurs. Le résultat dépendra de la fraîcheur des équipiers des sprinteurs après la première journée en montagne.
18) St Girons – Superbagnères 129km étape de montagne D+ : 4265m
- col du Portet d'Aspet : km21 ; 5.5km à 6.8% ; cat2
- col de Menté : km46.5 ; 8.5km à 7.3% ; cat1
- Port de Balès : km91 ; 18.7km à 6.1% (11.7km à 7.7%) ; catHC
- Superbagnères : km129 ; 17km à 6.6% ; cat1
La dernière arrivée au sommet qui arrivera après une étape courte. La dernière ascension n'est pas très « impressionnante », ce qui pourra permettre des attaques dès le Port de Balès.
19) Bagnères-de-Luchon – Bagnères-de-Bigorre 106km étape de montagne D+ : 3997m
- col de Peyresourde : km14 ; 14km à 6.7% ; cat1
- col d'Azet : km31.5 ; 7.4km à 8.3% ; cat1
- col de la Hourquette d'Ancizan : km55 ; 9.9km à 7.6% ; cat1
- col de la Courade : km81 ; 7.akm à 7% ; cat1
- col de Couret : km94 ; 5km à 9.2% ; cat1
La dernière étape pour les grimpeurs, et il y a de quoi faire ! 5 cols en à peine 106km, pas de répit entre les cols : les écarts peuvent être très important à l'arrivée !
20) Tarbes – Pau 41.5km ITT D+ : 243m
Un parcours pour spécialistes ; et aussi la dernière bataille pour faire bouger les places au général.
21) Melun – Paris 114km étape de plaine
Pas de « tourniquet » mais une tour de Paris et ces monuments : Sacré cœur, Notre Dame, Tour Eiffel… avant le traditionnel final sur les champs.
A noter que l'arrivée se fera sur le haut des Champs Elysées.
Chiffres :
- 3495.5km (85.5km d'ITT)
- 9 étapes de plaines / 2 étapes vallonnées / 1 étape de moyenne montagne / 7 étapes de montagne / 1 ITT plat / 1 ITT de moyenne montagne
- 30 cols cat HC (6) ; cat 1 (18) ; cat 2 (6) + 35 GPM cat3 (19) ; cat4 (16)
Bonjour Gui,
une arrivée en haut de la citadelle aurait été originale (mais je ne connais pas les moyens logistiques).
J'aurais aimé un peu d'originalité vers Liège, même si ce n'est pas une mauvaise étape évidemment, l'inventivité des tracés fait aussi parti de la chose. Surtout que dans la région on a vraiment les moyens de se lâcher.
Saverne est un pari, c'est juste à voir.
L'étape de Remiremont me paraît plutôt normal, mais vu la distance tu aurais pu rajouter quelques bosses.
L'étape du Schauinsland me plaît bof... Je ne suis pas fan de la forêt noir, les Vosges français sont bien plus riches en difficultés et en créativité.
L'étape de Vulcania me semble mieux, la dernière dfficulté en alliance avec le reste d'une étape costaude...
Ok pour le chrono.
J'éaurais préféré une atépe dans la Grande Chartreuse au départ de Saint-Etienne à cette étape vers Les Deux Alpes. Elle sera par contre assez usante car très longue et le final semble très prometteur.
L'étape de Superdévouly est l'énchaînement le plus classique. On peut rajouter Puys Sanières et Saint-Apollinaire encore avant pour cérer une très grosse étape de mouvement, mais c'est optionnel.
Vers Monaco, l'étape promet aussi avec un col que j'affectionne pour la beauté de ses paysages, le col de la Madone de Gorbio.Surtout que les cols précédents vont faire très très mal aux jambes...
J'aime bien la fin du Port de Cabus qui promet du spectacle, surtout les dix derniers kilomètres où après avoir quitté la route d'El Serrat, on arrive sur une route moins large plus pentue et favorable aux attques.
Désolé pour Superbagnères mais je vois mal, à part chez des courageux, une attaque dans Balès au vu de ses dernières années où les coureurs n'aime pas trop se bouger le train. Cependant la dernière ascenscion promet quand même, dans un enchaînement tout de même classique.
Pas d'étape dantesque à relever cependant pour terminer, un bel enchaîbnement de cols, mais peut être pas assez "concluant".
En bref un Tour qui n'a pas forcément m'a grande faveur, un ensemble assez homogène et d'un agencement plutôt bon, mais je trouve qu'il manque d'inventivité et se tient à un schéma trop conformiste.
Bonjour Gui,
2 étapes vallonnées au départ, il y en a une de trop. je pense que la première étape aurait méritée d'être à peine plus dure et la seconde plus légère avec possibilité d'arrivée au sprint.
Vosges : déception : 3 petites bosses et c'est fini, c'est trop faible, même les étapes de Namur et Liège seraient plus sélectives.
Forêt Noire et Schauinsland :comme précisé, forcément tout se jouera dans la dernière bosse, mais l'étape est aussi propice à des échappés, ce qui n'est pas plus mal.
Goules : Sprint en côte, correct en cas de première arrivée au somet, mais à ce stade de la course, l'étape est mal tracée.
premier chrono tardif, pas de problème. Il y a avait mieux à faire pour un chrono de moyenne montagne, qui est par ailleurs trop long.
Les 2Alpes, ok.
Superdévoluy, il y avait une meilleure approche à faire en partant de l'Oisans.
Monaco, enfin une arrivée en descente. Mais, même si de belles bosses sont en début d'étape, il ne faut pas s'attendre à autre chose qu'une course de côte dans la Madone (une arrivée à Menton aurait permis de tenter dès le Turini).
Port de Cabus, j'ai hésité à y tracer une arrivée. Sauf que depuis Perpignan, je prenait le col de la Llosa, Puymorens, avant l'Envalira, et pour couper la vallée j'empruntais l'Ordino (ce qui manque à ton étape).
St-Gaudens, je doute que les sprinteurs soient motivés à ce stade de la course.
Superbagnères, encore du sommet, ce qui gâche ce format court !
L'étape de Bagnères me rappelle quelque chose ! Forcément, très bonne étape.
Mais un chrono si long le lendemain : risque de bloquer la course de mouvement.
Vous nous avez habitué à mieux.
Votre tour ne compte que trop d'arrivées au sommet.
Bonne journée
Bonjour Gui_13r,
2 étapes accidentées pour commencer.
La 1ère pourrait tout de même permettre à des sprinteurs frais de revenir dans la descente et de se disputer la victoire.
La 2nde pourrait être du type de Sheffield cette année.
A Saverne, le col de Saverne est peur être de trop.
Remiremont me va bien, belle course de côte en perspective à Schauinsland.
Vulcania est bien placé, à la veille du repos.
Bonne étape aux 2 Alpes. Le lendemain, je suis plus sceptique, mais c'est surtout car j'avais été dessus du Noyer, lorsque je l'ai grimpé. Seuls les 2 derniers km sont très difficiles. Et Superdévoluy n'est pas très sexy.
Longue étape pour finir les Alpes, mais cela manque un peu de pourcentages.
Les Pyrénées sont correctes, avec une très belle 3ème étape.
Par contre 85,5km de CLM, cela fait beaucoup au vue des difficultés.
Ce que j'aime : un tour équilibré proposant tous les type d'étapes. Il y a de quoi faire pour tout le monde, pas d'excès dans un sens ou dans l'autre.
Les étapes accidentées et de moyenne montagne présentent de l'innovation par rapport à ce qui se fait classiquement sur le Tour.
Les enchainements d'étapes sont variés : pas de blocs de plusieurs étapes du même type consécutives.
Ce que j'aime moins :
le kilométrage de clm qui est à mes yeux un poil trop important. Peut être qu'un dernier clm moins long (aux alentours de 30km voire peut être légèrement moins) permettrait de ne pas trop bloquer la dernière étape de montagne.
La haute montagne est assez classique et présente peu de nouveauté tant dans les cols empruntés que dans les enchainements (c'est un avis personnel, je préfère aller chercher des choses nouvelles le plus possible, maintenant c'est tout à fait possible de faire très bien avec ce qui a déjà été expérimenté maintes fois, donc ce n'est pas vraiment une critique, plus une différence de pt de vue).
Première étape de montagne après 6 jours, pas sûr que ça ait l'effet escompté, mais pourquoi pas.
Bonjour à tous et merci des commentaires.
La première étape entraînera un sprint car les sprinteurs seront motivés et la citadelle de Namur n'est pas assez dure pour les lâcher à ce stade de la course, et surtout la descente pourra permettre un regroupement.
Le lendemain, j'ai voulu faire un hommage à la "Doyenne" donc reprendre les côtes du tracé, pas forcément chercher de nouvelles côtes.
Vers Saverne, il y a possibilité de regroupement après le col, comme vers Namur.
Vers Remiremont, le format court est voulu; après plus de côtes aurait fait une surcharge de difficultés, qui sont déjà importantes sur ce tracé. Cette étape n'est pas la pour les favoris qui attendrons certainement le lendemain pour lutter au général.
L'étape de la forêt Noire est une mise en action, et comporte de beaux pourcentages, suffisant pour faire des écarts.
Vers Vulcania, l'étape est plus difficile qu'il n'y parait car il y a une succession de faux-plats et de côtes qui fatigueront les coureurs avant la dernière ascension.
Les chronos sont là pour créer des écarts importants, éloigner les grimpeurs et les forcer à attaquer. Donc il faut une distance totale importante. Cependant les grimpeurs pourront limiter la casse sur le chrono Auvergnat car il y a deux ascensions et également des portions techniques, avec peu de lignes droites si ce n'est les 10 derniers km. Ce chrono est un peu dans le style de la vuelta, donc fera des écarts minimes (1 minutes maxi selon moi).C'est pour cela, pour rentrer dans une logique de match grimpeurs/rouleurs, que le dernier clm est long afin de rééquilibrer les chances.
Les 2 Alpes: c'est plus dur par la longueur que le nombre de difficultés.
Le lendemain, c'est l'étape de milieu de massif: quelqu'un qui a perdu temps pourra en reprendre, ceux qui sont en têtes devraient se neutraliser avant le lendemain. Cependant, le Noyer offre (quand même!) de beaux pourcentages et pourrait faire des écart "naturellement".
Vers Monaco, l'option Menton est aussi viable mais je ne pense pas que cela pousserait à attaquer dès le Turini... Cette étape par "en côte" donc fera mal d'entrée (surtout avec un col si haut!), cela se resentira sans doute en fin d'étape, et pour évité un remake de BDB 2013, j'ai voulu placer un col dur près de l'arrivée.
L'Ordino ne servirait pas à grand chose avant le Port de Cabus car il est facile par le versant de la route de l'Envalira, et donc ne servirait pas à grand chose.
Superbagnères en format court propose une arrivée au sommet explosive avant une étape sans répit: les grimpeurs sont obligés d'attaquer!(je reconnais cependant un excès d'optimisme sur le Port de Balès)Je pense qu'il y aura du spectacle sur les étape proposées. De plus la dernière étape a des cols avec des pourcentages importants poussera à attaquer même si il y a un ITT le lendemain.
J'ai voulu créer ce tour dans l'optique de proposer un parcours pour les coureurs assez audacieux, en proposant beaucoup de clm avec des étapes de montagne sans arrivée au sommet exceptionnelle (excepté le Port de Cabus), afin de proposer d'autres schémas que des courses de côtes (surtout dans les grands massifs).
Globalement je reconnais un certain manque d'imagination sur ce tracé. J'essayerai de proposer un tracé plus imaginatif la prochaine fois.
Bonne soirée
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